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Affaire Sonko : des nouvelles de Juan Branco

Après une brève, mais remarquée, apparition lors de la conférence de presse des avocats de Ousmane Sonko, dimanche dernier, Me Juan Branco avait disparu de la circulation. «Activement recherché» par les Forces de défense et de sécurité, en vue de l’exécution du mandat d’arrêt émis à son encontre par le procureur de la République, l’avocat français n’avait plus fait signe de vie.

Jusqu’à hier. D’après un message posté sur son compte Instagram, repris par L’Observateur, Me Branco semble avoir effectué ce lundi un tour à Pikine. «Auprès de proches de Bara Kaïré», a-t-il signé sur son compte.

Ce dernier est décédé à la clinique Suma Assistance. Le journal rapporte qu’il aurait succombé à ses blessures après avoir été atteint d’une balle lors d’une manifestation contre l’emprisonnement de Sonko.

Bébé mort dans un lave-linge : le père de l’enfant raconte l’horreur de l’hôpital Abass Ndao

L’heureux événement a viré à la tragédie. Deux jours après avoir accueilli son premier nouveau-né, une fille, le couple Kouderin, Olufuni Jean-François et N’houeni Narro Véronique, apprend le décès du nourrisson. Dans des circonstances atroces, incompréhensibles. Le chef de la famille éplorée revient pour L’Observateur sur le cauchemar qu’il vit avec son épouse. Il réclame justice.

«Le bébé se porte bien»

«J’ai amené mon épouse en état de grossesse à l’hôpital Abass Ndao de Dakar le dimanche 23 juillet. Elle a accouché sans problème et a donné naissance à un bébé de 33 semaines, soit 7 mois. Comme le nourrisson est né prématuré, les médecins l’ont placé dans la chambre où se trouve la lampe chauffante pour maintenir la température utérine du bébé. Le lundi, le bébé allait très bien. Selon le personnel soignant, il respirait normalement à l’air libre et mangeait aussi bien. La maman aussi a pu voir le bébé ce dimanche, avant de sortir de l’hôpital le lundi.

«Après avoir terminé les formalités, on a décidé, vers 19 h, de passer voir le bébé avant de rentrer. Ils nous ont dit que la petite n’est plus dans la couveuse, mais transférée dans la salle «Kanguve». Ils nous ont encore rassurés qu’elle se porte bien et n’a aucun risque d’infection. On nous a donné rendez-vous le mardi à 12 h. À 11 h, ma femme était déjà sur place. Mais jusqu’à 12 h passées de quelques minutes, elle n’a pu voir le bébé. Quand elle s’est rapprochée du personnel, on lui a demandé de patienter encore et qu’elle n’a aucun souci à se faire car le bébé se porte bien. Une heure après, elle m’a appelé pour me faire un compte-rendu. J’ai trouvé cela anormal et suspect et j’ai jugé nécessaire de la retrouver sur place.

«Colère noire»

«À mon arrivée, on est restés à faire le pied de grue jusqu’à 15 h. C’est là que le directeur de l’hôpital m’a convoqué dans son bureau pour me dire qu’il s’est passé quelque chose à 6h du matin et que le bébé est décédé. Et que ce n’était pas une mort naturelle. Ils ont même convoqué la police qui a déjà constaté les faits. Quand j’ai demandé après le corps du bébé, il m’a dit que le corps avait été déjà envoyé à la morgue de l’hôpital Idrissa Pouye ex-CTO. À ce moment-là, je suis entré dans une colère noire et je leur ai demandé pourquoi je n’avais pas été avisé. Il m’a dit que c’était pour les besoins de l’autopsie. Je leur ai exigé de voir mon bébé, mais ils m’ont opposé un niet catégorique. J’ai appelé mon tuteur. Il a aussi fait des mains et des pieds pour qu’on puisse voir le bébé.

«Après un bras de fer, le directeur de l’hôpital nous a mis en relation avec le major de la morgue. Ce dernier nous dira, à son tour, mercredi, que le corps est mis sous scellé. Vu que j’avais rendez-vous avec la police de la Médina pour une déposition, on lui a fait part de nos complaintes, mais le commissaire nous dira qu’ils n’ont pas le droit de nous empêcher de voir le corps du bébé. Et il nous a conseillé de retourner à Abass Ndao pour qu’il nous donne une autorisation. On a tourné en rond sans avoir gain de cause. On a prévu de revenir jeudi avec un huissier. C’est sur ces mots que nous nous sommes quittés.

«Termes trop bizarres»

«Le jeudi, le commissariat de la Médina m’a convoqué. Sur place, en entretien avec le commissaire, j’ai appris qu’ils ont fait l’autopsie sans notre approbation. Le commissaire m’a signifié qu’à leur niveau, ils leur ont juste envoyé les résultats pour l’avancement de l’enquête. Quand il m’a fait la lecture de la conclusion, j’ai trouvé les termes utilisés trop bizarres. Je lui ai alors demandé de jeter un coup d’œil et j’ai pu lire, ‘nous avons reçu dans un sachet…’

«Sur le papier, j’ai vu que l’examen montre une segmentatign des membres du corps. C’est-à-dire que le pied est coupé, l’estomac et les poumons déchirés, le crâne brisé. La conclusion qui a été écrite ne me disait pas la cause de son décès. Je leur ai demandé si je pouvais faire une copie de l’autopsie, mais il refusa. Il a estimé que c’était à l’hôpital de m’en fournir une. Ils m’ont ensuite demandé si je devais prendre l’enfant et l’enterrer. Ce que j’ai clairement refusé. Car, pour moi, on ne parle même pas de bébé, mais de restes d’un bébé. Je leur ai proposé de faire un test Adn.

«Une fois à la maison, mon tuteur m’a dit que lors de sa convocation, le directeur de l’hôpital lui a dit qu’il avait retrouvé le mardi, les restes du bébé dans la machine à laver. Cela porte à croire que le bébé y était. La machine à laver était dans un programme de lavage de 9o degrés pendant trente minutes. Donc, l’enfant a été complètement déchiqueté. Il n’y avait plus que ses restes. Ils ont été ramassés et mis dans un sachet.

«Comment le bébé s’est retrouver dans la machine ?»

«Ayant vu l’image, mon oncle était choqué. Il ne pouvait ni manger, ni boire, encore moins dormir. C’est la raison pour laquelle il voulait nous éviter ce traumatisme. Tout comme moi, ma femme est aussi traumatisée. On souffre. C’était notre aîné. On vient de célébrer une année de mariage, le 13 août dernier. C’est pour cela qu’on ne nous a pas montré le corps depuis le premier jour. La police était en train de mener ses investigations. Trois personnes ont été entendues. Il s’agit de la dame qui a passé la nuit avec l’enfant et qui a trente ans d’expérience, celui qui a ramassé le linge de l’entrée jusqu’à la lingerie, et celui qui est à la buanderie et qui a mis le linge dans la machine sans trier.

«Maintenant, comment le corps s’est retrouvé dans la machine ? On ne le sait pas non plus. Nos questions n’ont toujours pas de réponses. Jusqu’à présent, je n’ai pas vu le corps. Mais, le directeur nous a confirmé, samedi, qu’il ne peut y avoir de risque de confusion. Les bébés qui sortent de la salle d’accouchement sont automatiquement identifiés. Nous lui avons dit que nous allions effectuer un test Adn pour en avoir le cœur net. Ils nous ont dit qu’il va falloir adresser une demande au parquet. Le commissaire nous avait donné rendez-vous aujourd’hui (hier lundi, Ndlr), nous sommes partis et pendant des heures, ils nous ont dit d’envoyer la demande au tribunal. Je veux que justice soit faite. C’est notre premier enfant. Il faut que la lumière soit faite sur cette affaire.»

Bayern : Tuchel évoque sa dernière conversation avec Sadio Mané

C’est l’histoire d’un mariage qui n’a pas marché. Après seulement une saison au Bayern Munich, Sadio Mané va quitter la Bavière, poussé vers la porte par les dirigeants du club. En effet, le joueur aurait souhaité rester encore en Bundesliga pour prouver sa valeur après une première saison ratée. « Ça me fait mal de dire au revoir au FC Bayern. J’aurai aimé une fin différente » a-t-il confié à Sky Sport.

« On s’est mis d’accord qu’on n’aimait pas tous les deux ce qui arrive maintenant »

Son désormais ex-entraîneur  Thomas Tuchel, comprend le joueur , mais pour lui c’est la meilleure décision à prendre. C’est ce qu’a déclaré l’Allemand ce mardi en évoquant sa dernière conversation avec Sadio Mané.

« On s’est longuement embrassé, et on s’est mis d’accord qu’on n’aimait pas tous les deux ce qui arrive maintenant. Mais nous pensons tous les deux que c’est mieux dans cette situation. Parfois les choses ne se passent pas comme tout le monde le souhaite…Ce n’est pas voulu personnellement de sa part. Je peux tout à fait comprendre qu’il se sente blessé, mais dans cette situation particulière, c’était la meilleure solution pour dénouer la situation » a laissé entendre Tuchel en conférence de presse ce matin à Singapour selon Sportbuzzer et Foot Mercato .

« Un peu triste »

Il avoue que sa conversation avec Mané a été un « peu triste », mais le Sénégalais avait le sourire aux lèvres tout comme lui. « Nous nous sommes assurés que nous maintiendrons de bonnes relations » a poursuivi Tuchel, non sans reconnaître sa part de responsabilité dans l’échec de ce mariage entre Mané et le Bayern.

« Je ne me sens pas heureux non plus quand quelque chose comme ça arrive. Cela laisse toujours l’impression que nous n’avons pas pu exploiter son plein potentiel, ce qui est aussi mon travail et ma responsabilité. C’est donc toujours un moment triste. » a déclaré l’Allemand.

Diamil Sané de Pastef arrêté

Diamil Sané membre de  Pastef par ailleurs  maire des parcelles Assainies vient d’être  arrêté. Selon nos informations il a arrêté par des éléments de la Division des investigations criminelles . Nous y reviendrons

Affaire Cheikh Oumar Diagne et Karim Guèye: La chambre d’accusation a tranché

Mauvaise nouvelle pour Cheikh Oumar Diagne et Karim Xrum Xax ! Le professeur et l’activiste vont rester encore en détention.
 
La chambre d’accusation vient de confirmer les ordonnances de refus de mise en liberté provisoire dudit duo , confie Me Moussa Sarr à Seneweb.
 
Pour rappel, Cheikh Oumar Diagne et Abdou Karim Guèye Xrum Xax ont été placés sous mandat de dépôt pour “atteinte à la sûreté de l’Etat” depuis le 23 mars 202

Mauvaise nouvelle pour Cheikh Oumar Diagne et Karim Xrum Xax

Mauvaise nouvelle pour Cheikh Oumar Diagne et Karim Xrum Xax ! Le professeur et l’activiste vont rester encore en détention.
 
La chambre d’accusation vient de confirmer les ordonnances de refus de mise en liberté provisoire dudit duo , confie Me Moussa Sarr à Seneweb.
 
Pour rappel, Cheikh Oumar Diagne et Abdou Karim Guèye Xrum Xax ont été placés sous mandat de dépôt pour “atteinte à la sûreté de l’Etat” depuis le 23 mars 2023.

Pastef dissout : les précédents de 1960, 1963 et 1964

Le parti Pastef a été dissout ce lundi par le ministre de l’Intérieur. Avant l’effacement de la formation politique de Ousmane Sonko, le Sénégal a connu trois précédents.

En août 1960, le PAI de Majmouth Diop a été dissout. C’était selon Ahmadou Bamba Ndiaye, vice-président du PLD, interrogé par Le Soleil, à la suite de violences enregistrées à Saint-Louis lors des élections municipales de cette année-là.

Il y a eu ensuite les épisodes BMS et FNS, deux formations créées par Cheikh Anta Diop et dont les actes de décès ont été signés, selon Bamba Ndiaye, respectivement, le 14 octobre 1963 et fin 1964. Ce dernier précise que l’égyptologue avait lancé le second parti après que le premier a été dissout.

Niger: la France va commencer l’évacuation de ses ressortissants «aujourd’hui»

©ISSIFOU DJIBO/EPA/MAXPPP - epa10777357 People display a Russia and a Niger flags outside the National Assembly building during a protest in Niamey, Niger, 30 July 2023. Thousands of supporters of General Abdourahamane Tchiani, head of the Presidential Guard, who declared himself the new leader of Niger after a coup against democratically elected President Mohamed Bazoum on 26 July, took to the streets of Niamey to demonstrate support for the coup. EPA-EFE/ISSIFOU DJIBO (MaxPPP TagID: maxbestof269441.jpg) [Photo via MaxPPP]

La France s’apprête à évacuer ses ressortissants du Niger, selon un message adressé par l’ambassade de France à Niamey aux ressortissants français ce 1er août 2023. Information appuyée dans la foulée par le ministère français des Affaires étrangères : « La France prépare l’évacuation de ses ressortissants et des ressortissants européens qui souhaiteraient quitter le pays. » Le Quai d’Orsay précise que « cette évacuation débutera dès aujourd’hui ». Quelque 600 Français se trouveraient actuellement au Niger. Un premier avion a quitté la France et est en route pour la capitale nigérienne, a appris RFI.

Ce mardi, l’Italie a annoncé se tenir prête à rapatrier par avion ses ressortissants qui le souhaiteraient. « Le gouvernement italien a décidé d’offrir à nos compatriotes présents à Niamey la possibilité de quitter la ville avec un vol spécial pour l’Italie », a déclaré le ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani sur Twitter.

Elle a « fait l’objet d’une coordination avec les forces nigériennes »

La France, de son côté, justifie sa décision par les « violences qui ont eu lieu contre notre ambassade avant-hier et la fermeture de l’espace aérien qui laisse nos compatriotes sans possibilité de quitter le pays par leurs propres moyens ».

L’ambassade avait indiqué, dans son message adressé directement à ses ressortissants sur place, que cette opération fait l’objet « d’une coordination avec les forces nigériennes ».

Le général Jérôme Pellistrandi, rédacteur en chef de la revue Défense nationale, joint par RFI, explique : « Il va falloir utiliser les installations aéroportuaires de Niamey. Donc il est préférable d’avoir un accord avec les autorités locales – même si, bien sûr, derrière, il y a le contexte du putsch – pour que cette évacuation se fasse en toute sécurité. Il appartient aux autorités nigériennes de garantir la sécurité de l’évacuation des ressortissants français et également européens. Et, bien sûr, la France, elle, se charge de l’évacuation par voie aérienne vers un pays tiers, un pays où ils seront en sécurité avant de rentrer éventuellement vers la métropole. »

Il ajoute : « Cette opération, elle est complexe parce qu’il faut bien sûr garantir la sécurité des ressortissants. Mais surtout, il faut évacuer les ressortissants des différents lieux où ils vivent dans Niamey. Et c’est pour ça qu’il est indispensable d’avoir le feu vert des autorités nigériennes pour que cette partie, qui est la plus délicat,e puisse se faire en toute sécurité. »

 

Elle a « fait l’objet d’une coordination avec les forces nigériennes »

La France, de son côté, justifie sa décision par les « violences qui ont eu lieu contre notre ambassade avant-hier et la fermeture de l’espace aérien qui laisse nos compatriotes sans possibilité de quitter le pays par leurs propres moyens ».

L’ambassade avait indiqué, dans son message adressé directement à ses ressortissants sur place, que cette opération fait l’objet « d’une coordination avec les forces nigériennes ».

Le général Jérôme Pellistrandi, rédacteur en chef de la revue Défense nationale, joint par RFI, explique : « Il va falloir utiliser les installations aéroportuaires de Niamey. Donc il est préférable d’avoir un accord avec les autorités locales – même si, bien sûr, derrière, il y a le contexte du putsch – pour que cette évacuation se fasse en toute sécurité. Il appartient aux autorités nigériennes de garantir la sécurité de l’évacuation des ressortissants français et également européens. Et, bien sûr, la France, elle, se charge de l’évacuation par voie aérienne vers un pays tiers, un pays où ils seront en sécurité avant de rentrer éventuellement vers la métropole. »

Il ajoute : « Cette opération, elle est complexe parce qu’il faut bien sûr garantir la sécurité des ressortissants. Mais surtout, il faut évacuer les ressortissants des différents lieux où ils vivent dans Niamey. Et c’est pour ça qu’il est indispensable d’avoir le feu vert des autorités nigériennes pour que cette partie, qui est la plus délicat,e puisse se faire en toute sécurité. »

NIGER : LA FRANCE VA COMMENCER L’ÉVACUATION DE SES RESSORTISSANTS «AUJOURD’HUI»

La France a annoncé, ce 1er août 2023, préparer « l’évacuation de ses ressortissants et des ressortissants européens qui souhaiteraient quitter le » Niger, pays où un coup d’État a eu lieu le 26 juillet 2023. Cette opération « débutera dès aujourd’hui », précise un communiqué du ministère français des Affaires étrangères.

La France s’apprête à évacuer ses ressortissants du Niger, selon un message adressé par l’ambassade de France à Niamey aux ressortissants français ce 1er août 2023. Information appuyée dans la foulée par le ministère français des Affaires étrangères : « La France prépare l’évacuation de ses ressortissants et des ressortissants européens qui souhaiteraient quitter le pays. » Le Quai d’Orsay précise que « cette évacuation débutera dès aujourd’hui ». Quelque 600 Français se trouveraient actuellement au Niger.

Plus tard ce mardi, l’Italie a annoncé se tenir prête à rapatrier par avion ses ressortissants qui le souhaiteraient. « Le gouvernement italien a décidé d’offrir à nos compatriotes présents à Niamey la possibilité de quitter la ville avec un vol spécial pour l’Italie », a déclaré le ministre des Affaires étrangères Antonio Tajani sur Twitter.

Elle a « fait l’objet d’une coordination avec les forces nigériennes »
La France, de son côté, justifie sa décision par les « violences qui ont eu lieu contre notre ambassade avant-hier et la fermeture de l’espace aérien qui laisse nos compatriotes sans possibilité de quitter le pays par leurs propres moyens ».

L’ambassade avait indiqué, dans son message adressé directement à ses ressortissants sur place, que cette opération fait l’objet « d’une coordination avec les forces nigériennes ».
Le 31 juillet 2023, les putschistes du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie ont accusé la France de vouloir « intervenir militairement », ce qu’a démenti la cheffe de la diplomatie française.

« C’est faux », a déclaré Catherine Colonna sur la chaîne française BFMTV. « Il faut démonter les intox et ne pas tomber dans le panneau », a-t-elle également ajouté au sujet de slogans anti-français lancés lors d’une manifestation devant l’ambassade de France à Niamey, le 30 juillet.

Dissolution de Pastef : la curieuse demande de Jean-Luc Mélenchon

La dissolution du parti Pastef a fait réagir Jean-Luc Mélenchon. Le leader de la France insoumise s’est montré scandalisé par cette décision du ministre de l’Intérieur. Il a ainsi suggéré que le Président français, Emmanuel Macron, doit la dénoncer. «Le parti de Ousmane Sonko est interdit et ses biens confisqués. Le gouvernement français ne doit pas cautionner», a écrit sur Twitter le dirigeant français, repris par Les Échos.

La France insoumise s’est distinguée ces derniers mois, à travers certains de ses responsables, par sa posture anti-pouvoir de Macky Sall et pro-Ousmane Sonko.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention