Un braquage a eu lieu au niveau de la RN6 (Kolda). En effet, des malfrats ont arrêté deux véhicules de la Sodefitex. Armés jusqu’aux dents, ils ont dépouillé de leurs biens toutes les personnes qui étaient à bord des véhicules. Autrement dit, portables, argent…. sans oublier le véhicule de l’entreprise. Après leur forfait, selon des informations de actunet, les bandits ont pris la route menant à la frontière avec la Guinée-Bissau.

Après 10 jours de recueillements et de prières, le bilan du Daaka 2019 est jugé satisfaisant par les sapeurs-pompiers. Aucun mort n’a été noté, malgré les cas d’incendie enregistrés. Le lieutenant Ousmane Lô, chargé des opérations de secours et de sauvetage, déclare : “Depuis l’engagement du détachement de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers, on a eu un incendie qui a concerné une cantine, un autre qui a concerné deux huttes de 2 m2 environ et un début d’incendie qui est dû à un court-circuit au niveau de Daaka Thierno.

” Sur les ondes d’iRadio, Ousmane Lô renseigne qu’il y a eu 13 accidents occasionnant 17 victimes qui ont été assistées. “Il y a eu 70 interventions concernant les malades et la découverte d’un corps sans vie qui ne concerne pas le site. C’est dans les villages qui sont très éloignés”, ajoute-t-il.

Un homme de 52 ans retrouvé mort dans son service. Il s’agit véritablement d’une mort suite à un malaise. La victime était un gardien au niveau des bureaux de l’anida situé au quartier sikilo. C’est ce matin que les voisins ont constaté la mort. Impuissant devant les faits la police et les sapeurs pompiers ont été alertés. Après constat le corps sans vie d’Ibrahima Soly habitant Boulome et résidant à sikilo à été évacué au niveau de l’hôpital régional certainement pour les besoins de l’autopsie afin d’élucider les circonstances de sa mort subite. Pape Kadialy BADJI actunet Kolda

A quelques jours de l’arrivée du président Sall dans le Fouladou, la mosquée qui était au cœur de vives polémiques refait peau neuve. En effet, après que la première couche de peinture ait été marron et beige, nombreux sont les habitants de la ville de Kollydado qui s’en étaient offusqués, réclamant le changement de la peinture. La société civile comme les leaders d’opinion avaient tous plaidé pour que les autorités puissent peindre la grande mosquée  Kolda sous d’autres couleurs. Apparemment, la cause à été entendu. Le lieu de culte est en train d’être peint aux couleurs vert et blanc puisque, selon plusieurs musulmans, c’est la couleur qui sied. Aujourd’hui, il faut constater que le pouvoir en place donne raison à la société civile comme à l’opposition qui ne cessaient de tirer à boulets rouges sur le Macky. Reprendre la peinture, c’est reconnaître sa faille. Mais, comment peut-on même, un seul instant, penser que la maison de Dieu doit être un bien personnel. Même si c’est le Président qui a ordonné la reconstruction de la mosquée, il faut reconnaître que l’argent est aussi celui du contribuable. Donc, la raison et la conscience auraient voulu que les dirigeants très tôt prennent les taureaux par les cornes en sachant que le jeu de yoyo de politiciens ne doit pas interférer dans la religion. Aujourd’hui, en ramenant la bonne couleur dans la mosquée, il n’y a plus place à la dispute, mais à la réjouissance des fidèles musulmans de la capitale du Fouladou. Il faut rappeler que le Président Macky Sall est attendu en Casamance à partir du 19 Octobre prochain. Une visite aux relents d’une vaste campagne électorale avant la lettre.

Certaines informations ont fait état de zéro admis au baccalauréat en ce qui concerne la localité de Kolda. Mais, c’est loin d’être le cas. En effet, le correspondant de actunet au niveau de la capitale du Fouladou renseigne que les résultats du bac sont très satisfaisants au premier tour avec 20% enregistrés dès le premier tour.
Au total, ce sont pas moins de 480 admis d’office et 700 potaches admissibles sur 2700 candidats seulement dans la commune de Kolda. 33 mentions dont 31 mentions assez bien et 2 bien.  Pour cette année, la percée a été constatée au niveau des séries scientifiques. Et, les filles sortent du lot. Au lycée Alpha Lolo, en série S1, c’est 100% avec trois mentions dont une bien et 2 assez bien.  Tandis qu’en S2, il est enregistré 15 mentions, 14 assez bien et une mention bien. A en croire les autorités académiques, si les tendances continuent à ce rythme, la région va enregistrer de bons résultats après le second tour. Déjà, il faut signaler que le taux de réussite au premier tour avoisine les 20%. Et pour le second tour la région est à 26%.

Daouda Dème, 84 ans n’est plus depuis cette nuit du samedi 9 au dimanche 10 juin peu après la rupture du jeûne. Il a mis fin à ses jours en se précipitant dans un puits. Polygame d’après son statut matrimonial, le défunt laisse derrière lui 3 femmes et 40 enfants selon L’Observateur. Livrant des détails de la mort de l’octogénaire, ses voisins parlent d’un acte prémédité. En effet, samedi denier après la rupture du jeûne, Daouda Dème a pris congé des siens se dirigeant vers le puits de la concession.

Une fois sur place, il s’est mis totalement nu, a déposé ses habits aux abords de la margelle a instruit les enfants qui se trouvaient aux alentours d’aller aviser les riverains et s’est mortellement jeté au fond du puits. Croyant à une plaisanterie de grand-père, ses petits fils qui ne l’avaient pris au sérieux ne purent que constater sa chute. Le village a été alerté par les cris de détresse des enfants témoins du drame. Le défunt a été inhumé avant-hier dimanche 10 juin 2018 à Tankofara, son village natal.

Une personne a été tuée et trois autres blessées dans une attaque à main armée survenue dans la nuit de dimanche à lundi, dans la commune de Guiro Yéro Bocar, à une vingtaine de kilomètres à l’est de Kolda (Sud), a appris l’APS. Les assaillants, qui tentaient de dévaliser une boutique, se sont heurtés à la résistance des populations, confient des témoins à l’APS. Ces dernières auraient réussi à s’emparer de l’arme de l’un des malfaiteurs avant de le tuer.

Mais trois parmi les villageois ont été blessés par balles dans ces affrontements. Le corps de l’assaillant tué se trouve à l’hôpital régional de Kolda où ont été évacués les blessés. La gendarmerie s’est rendue sur les lieux pour les besoins d’une enquête. Guiro Yéro Bocar est l’une des communes les plus peuplées du département de Kolda, dont elle est distante de 20 kilomètres, et d’une dizaine de kilomètres de la frontière avec la Guinée Bissau. Des bandes armées font souvent des incursions dans cette zone frontalière pour dépouiller les populations de leurs biens.

Modou Ndiaye, maire de la commune de Bambali (Sédhiou), son deuxième adjoint, Niky Ficou ainsi le secrétaire municipal, Mohamed Tamba sont entre les mains de la justice. Ils ont été arrêtés puis déférés, ce vendredi, au parquet de Kolda. Ils sont poursuivis pour escroquerie foncière, faux et usage de faux, détournement de biens publics.

Modou Ndiaye, selon les avocats des plaignants, aurait recruté un comptable qui gérait une quarantaine de parcelles fictives sur un lotissement irrégulier en date de 2016. Il revendait ces parcelles à usage d’habitation à 50.000 FCFA l’unité et parfois plus, sans jamais octroyer des attributions aux ayants droits. Plus grave, il ne reversait pas les recettes au Trésor public et les détournait à des fins personnels

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Le ministre de l’éducation nationale a officiellement lancé, ce lundi 07mai à Kolda, la 22ème édition de la semaine nationale de l’éducation de base à Kolda. Cette édition parle de la consolidation des valeurs civiques, l’école et les forces de défense et de sécurité au service de la nation. Un événement riche en couleurs comme en enseignement. Une occasion pour le ministre de remercier le programme alimentaire pour les cantines scolaires qui aide dans la qualité des enseignements.

Serigne Mbaye Thiam y à préciser que l’état a investi près de 8 milliards dans le cadre de la résorption des abris provisoires. A Kolda c’est au total 896 classes qui sont construites depuis 5ans. Nous l’écoutons.

IGFM – (Kolda) – Des incidents se sont produits hier, dans la zone forestière du village de Hamdallaye Mamadou Diallo situé à la lisière de la frontière avec la Gambie dans la commune de Bourouco, arrondissement de Ndorna, département de Médina Yoro Foulah. Ils ont opposé des populations de cette localité à des trafiquants de bois gambiens du village de Buring (Gambie). A l’origine de leur différend, un dépôt de bois de vène appartenant à des trafiquants gambiens mais implanté en territoire sénégalais.

Il a fallu l’intervention prompte de l’armée sénégalaise, de la police gambienne et des autorités administratives des deux pays pour éviter des affrontements frontaux entre les deux communautés prêtent à en découdre. Après des heures de tiraillements sur la localisation exacte du dépôt de bois de vène estimé à environs 200 billons, il s’est avéré que le dépôt se trouve effectivement en territoire sénégalais. Tout est revenu à la normale, sous le contrôle de l’armée qui a veillé à la sécurisation des lieux.

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Le Fouladou s’est distingué ces dernières années par une production littéraire de qualité avec à la clé des œuvres qui ont remporté des prix précieux.  Le doyen des écrivains de Kolda en l’occurrence Seydou Sow a reçu  le Grand Prix du Chef de l’Etat. En 1995 Idrissa Sow Gorkodjo remporte à son tour le troisième prix de Teham éditions en France puis Abdourahmane Diallo, va recevoir la même distinction en 1997. Sans oublier Diéo Guèye cette écrivaine conteuse qui a remporté le prix Birago Diop du conte décerné par l’association des écrivains du Sénégal.

Cependant, derrière ces succès, se cachent des difficultés qui freinent la promotion du livre. Le premier problème évoqué par les écrivains est  relatif à «la maison d’édition». Kolda n’en dispose pas. Idem pour toute la Casamance. «Kolda n’a pas de maison d’édition. Éditer un livre reste un casse-tête pour nous autres écrivains du sud», a déploré Diénéba Guèye présidente du Cercle des écrivains de Kolda. « Nous écrivons beaucoup mais c’est parfois très compliqué car les éditeurs sont à Dakar. On est obligé de faire ce qu’ils nous demandent ».  Son collègue Abdourahmane Diallo embouche la même trompette et lance dans la foulée  un appel aux plus hautes autorités du pays. «Nous lançons un appel au Président de la République pour qu’il nous aide à mettre en place une maison d’édition dans notre région. Cela va beaucoup aider les écrivains koldois», a fait savoir M Diallo.

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Le Fouladou s’est distingué ces dernières années par une production littéraire de qualité avec à la clé des œuvres qui ont remporté des prix précieux.  Le doyen des écrivains de Kolda en l’occurrence Seydou Sow a reçu  le Grand Prix du Chef de l’Etat. En 1995 Idrissa Sow Gorkodjo remporte à son tour le troisième prix de Teham éditions en France puis Abdourahmane Diallo, va recevoir la même distinction en 1997. Sans oublier Diéo Guèye cette écrivaine conteuse qui a remporté le prix Birago Diop du conte décerné par l’association des écrivains du Sénégal.

Cependant, derrière ces succès, se cachent des difficultés qui freinent la promotion du livre. Le premier problème évoqué par les écrivains est  relatif à «la maison d’édition». Kolda n’en dispose pas. Idem pour toute la Casamance. «Kolda n’a pas de maison d’édition. Éditer un livre reste un casse-tête pour nous autres écrivains du sud», a déploré Diénéba Guèye présidente du Cercle des écrivains de Kolda. « Nous écrivons beaucoup mais c’est parfois très compliqué car les éditeurs sont à Dakar. On est obligé de faire ce qu’ils nous demandent ».  Son collègue Abdourahmane Diallo embouche la même trompette et lance dans la foulée  un appel aux plus hautes autorités du pays. «Nous lançons un appel au Président de la République pour qu’il nous aide à mettre en place une maison d’édition dans notre région. Cela va beaucoup aider les écrivains koldois», a fait savoir M Diallo.

L’autre problème auquel les écrivains sont confrontés, c’est que «les livres sont très peu vendus». Conséquence, «les écrivains produisent mais ne parviennent pas à vivre de  leur art», selon M Diallo. Pour inverser cette tendance, ces acteurs culturels du Fouladou vont vers l’organisation d’un festival de contes et d’une journée internationale du Livre, selon le Directeur du Centre culturel de Kolda. De l’avis d’Abdoulaye Lamine Baldé ces deux grands projets vont contribuer à faire « la promotion du livre et de la lecture publique dans la région de Kolda». Dans la même veine, le patron des acteurs culturels de Kolda invite les écrivains à travailler en collaboration avec les acteurs de l’éducation afin qu’ils soient davantage connus du grand public.

A Kolda, plus de 50% des consultations buco-dentaires sont dues à une Carrie. Et plus de 76% des problèmes buco dentaires touchent les enfants scolarisables. A en croire Docteur Senghor, les gens doivent se brosser les dents chaque jour, trois fois au minimum et après les repas.

Pendant 10 jours, la cité religieuse de Médina Gounass va accueillir les fidèles musulmans venus de tous les coins du monde.
Une retraite spirituelle pour mieux se concentrer, s’abstenir des besoins de la vie quotidienne afin de prier et glorifier Allah.
Cet événement est d’une importance capitale dans la vie des fidèles musulmans qui viennent y prendre part. Ces derniers n’ont pas manqué de formuler de prières pour la paix dans le monde.
Chaque jour près de 12.000 Zikr du Salatoul Fatiha seront effectués par les fidèles en plus du récital du Saint Coran.

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XALIMANEWS : Du Chanvre indien a été saisi à Kolda par les éléments de la Brigade régionale des stupéfiants de Tambacounda de la Direction de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis). Dirigée par le Commissaire Divisionnaire Idrissa Cissé, ils ont mis la main sur 192,250 kg de chanvre indien de la variété dite « verte».

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Deux morts c’est le bilan d’un accident qui s’est produit ce mercredi vers les coups de 15h. Un accident survenu après une collision entre un camion et une moto jakkarta. Les deux victimes étaient tous les deux sur la moto. Les faits se sont déroulés à 24 kms de kolda commune sur la route qui va à Pata en pleine brousse. Informées vers 15h les gendarmes et les sapeurs pompiers se sont rués vers les lieux où la tragédie a eu lieu, peut révéler actunet. Il faut dire qu’un parmi les morts est lui décédé sur place tandis que le second agonisant est lui mort quelques minutes après. Selon notre source le chauffeur du camion aurait fui au moment où sont arrivés les gendarmes et les sapeurs pompiers. Cet nième accident vient poser  sur le tapis la lancinante question de l’indiscipline sur nos routes. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de kolda pour élucider les circonstances dans lesquelles le drame a eu lieu.

Le Conseil national de concertation et de coopération des ruraux (Cncr) et ses partenaires comptent injecter 479 millions de francs Cfa dans le département de Médina Yoro Foula (Myf), à travers le projet intitulé ‘’Commun’’ financé par l’Union européenne qui milite pour la protection des ressources forestières. La cérémonie de lancement a eu lieu ce mardi 26 février à la mairie de Médina Yoro Foula.

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Après Fatick en 2014, Koungheul en 2015 et Ndioum en 2016, l’honneur revient à la ville de Kolda d’accueillir la quatrième édition des Journées Nationales de l’Elevage dont la cérémonie officielle, prévue ce samedi 23 décembre 2017, est présidée par le Chef de l’Etat.

Saisissant cette occasion, le Pôle Communication de la Présidence de la République a, à travers un communiqué, listé les projets et réalisations du gouvernement au profit du sous-secteur.

Ainsi, pour ce qui est de la prévention et de la lutte contre le vol de bétail, il a été mis en place la Cellule de Lutte contre le Vol de Bétail (CLCVB). Cela, en plus de l’élaboration d’un plan d’actions adopté depuis 2014.

En outre, « une enveloppe de 500 000 000 FCFA a été allouée dans le budget du département en 2018 pour renforcer les mutuelles d’épargne et de crédit (MEC) des éleveurs ».

« Le Projet développement durable du pastoralisme au Sénégal (PDDPS) pour un montant global de 30 millions de dollars US, soit environ 15 milliards de FCFA. L’objectif du projet est de contribuer à la réduction de la pauvreté et au renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations vulnérables dans les régions de Saint-Louis, Matam, Louga, Kaffrine et Tambacounda », ajoute le communiqué.

« En 2015 : 3,2 milliards ont été mobilisés avec la prime assurance tirée de la Mutuelle Panafricaine de Gestion des Risques (ARC) pour l’achat de 14 839 tonnes d’aliments de bétail distribuées à 86 657 éleveurs dans les 45 départements du pays », termine notre source.