littèrature – Actunet.net https://actunet.net Les dessous de l'actualité Wed, 25 Apr 2018 12:15:07 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.2.5 https://actunet.net/wp-content/uploads/2017/08/cropped-actunet_logo_01-300x90-1-32x32.png littèrature – Actunet.net https://actunet.net 32 32 69362583 Salon africain du livre de Genève : ces amazones qui ont fait l’Afrique https://actunet.net/actu_express/salon-africain-du-livre-de-geneve-ces-amazones-qui-ont-fait-lafrique/ https://actunet.net/actu_express/salon-africain-du-livre-de-geneve-ces-amazones-qui-ont-fait-lafrique/#comments Wed, 25 Apr 2018 12:15:07 +0000 http://actunet.net/?p=119347 Sous le baobab du Salon africain du livre de Genève qui ouvre ses portes ce mercredi, les femmes sont à l’honneur sous le signe des guerrières du Bénin précolonial, mais aussi sous celui de toutes ces figures historiques de « femmes puissantes », selon l’expression devenue courante tirée du titre du roman et Prix Goncourt 2009 de Marie N’Diaye Trois Femmes […]]]>

Sous le baobab du Salon africain du livre de Genève qui ouvre ses portes ce mercredi, les femmes sont à l’honneur sous le signe des guerrières du Bénin précolonial, mais aussi sous celui de toutes ces figures historiques de « femmes puissantes », selon l’expression devenue courante tirée du titre du roman et Prix Goncourt 2009 de Marie N’Diaye Trois Femmes puissantes (Gallimard). Bien sûr, la Grande Royale de l’incontournable Aventure ambiguë de Cheikh Hamidou Kaneparle à tous les lecteurs d’une littérature portée aussi bien par l’imagination des écrivains que par les légendes, mythes et figures bien réelles du continent (et jusqu’au récent Black Panther qui, sur les écrans, a magnifié la féminité aussi inspirante que combative).

Quatre femmes puissantes

Pour donner ses contours historiques à cette thématique qu’illustre en BD le dessinateur Adrien Folly-Notsron, les historiennes Hélène d’Almeida-Topor et Catherine Coquery-Vidrovitch (Les Africaines. Histoire des femmes d’Afrique subsaharienne du XIX au XXe siècle, éd. La Découverte Poche), sans oublier Sylvia Serbin (Reines d’Afrique et héroïnes de la diaspora noire, éd. Sépia), dispensent leurs lumières au public, et cette Afrique des femmes s’incarne au cours des rencontres et des débats par des écrivaines invitées dans la riche programmation du salon concoctée par le duo de Boniface Mbongo Moussa et de Pascale Kramer. La rencontre du vendredi soir en nocturne réunira, venues du Sénégal, Aminata Sow Fall et Ken Bugul, mais aussi l’Ivoirienne Véronique Tadjo, rejointe par une femme puissante des médias en la personne de la journaliste camerounaise Denise Epoté, directrice Afrique de TV5 Monde. Elles y raconteront leur parcours de combattante de la plume et partageront avec le public les figures qui leur sont chères. La première, Aminata Sow Fall, distinguée par l’Académie française en 2016 qui lui a remis le Grand Prix de la francophonie, auteur de La Grève des bàttu et dont vient de paraître L’Empire du mensonge (Serpent à plumes), évoque l’entourage directement familial qui a inspiré son dernier opus et a balisé sa vie : « Les femmes qui m’ont marquée à jamais sont ma mère, pour sa générosité, son intelligence et sa bonté infinie, ma tante, sœur aînée de ma mère, pour sa force de caractère et son affection qu’elle m’a toujours témoignée jusqu’à la fin de ses jours. Et l’une des griottes de ma mère pour sa fidélité, sa franchise, son attachement aux principes sacrés de l’honneur », nous confie-t-elle. Pour Ken Bugul dont quasiment tous les livres, mais sans doute en particulier Riwan et Cacophonie (éd. Présence africaine) – son dernier roman –, ont pour thème majeur le combat des femmes pour la liberté, et l’écrivaine sénégalaise, qui a fait du Bénin son pays de transit, cite aussi bien les femmes du golfe de Guinée que « nous toutes, mères, épouses, amantes, aimantes, célibataires et transgenres, etc. Dans ma tête grouillent des noms et des visages de femmes puissantes. De Yacine Boubou à Diarra Bousso, des femmes de Nder à la reine Ndaté Yalla, de la Grande Royale à Aline Sitoé Diatta, des héroïnes de Ousmane Sembène aux héroïnes invisibles. »

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Kolda – Les écrivains réclament une maison d’édition dans le sud https://actunet.net/actu_express/kolda-les-ecrivains-reclament-une-maison-dedition-dans-le-sud/ https://actunet.net/actu_express/kolda-les-ecrivains-reclament-une-maison-dedition-dans-le-sud/#comments Sat, 14 Apr 2018 14:53:50 +0000 http://actunet.net/?p=117581 Le Fouladou s’est distingué ces dernières années par une production littéraire de qualité avec à la clé des œuvres qui ont remporté des prix précieux.  Le doyen des écrivains de Kolda en l’occurrence Seydou Sow a reçu  le Grand Prix du Chef de l’Etat. En 1995 Idrissa Sow Gorkodjo remporte à son tour le troisième prix […]]]>
Le Fouladou s’est distingué ces dernières années par une production littéraire de qualité avec à la clé des œuvres qui ont remporté des prix précieux.  Le doyen des écrivains de Kolda en l’occurrence Seydou Sow a reçu  le Grand Prix du Chef de l’Etat. En 1995 Idrissa Sow Gorkodjo remporte à son tour le troisième prix de Teham éditions en France puis Abdourahmane Diallo, va recevoir la même distinction en 1997. Sans oublier Diéo Guèye cette écrivaine conteuse qui a remporté le prix Birago Diop du conte décerné par l’association des écrivains du Sénégal.
Cependant, derrière ces succès, se cachent des difficultés qui freinent la promotion du livre. Le premier problème évoqué par les écrivains est  relatif à «la maison d’édition». Kolda n’en dispose pas. Idem pour toute la Casamance. «Kolda n’a pas de maison d’édition. Éditer un livre reste un casse-tête pour nous autres écrivains du sud», a déploré Diénéba Guèye présidente du Cercle des écrivains de Kolda. « Nous écrivons beaucoup mais c’est parfois très compliqué car les éditeurs sont à Dakar. On est obligé de faire ce qu’ils nous demandent ».  Son collègue Abdourahmane Diallo embouche la même trompette et lance dans la foulée  un appel aux plus hautes autorités du pays. «Nous lançons un appel au Président de la République pour qu’il nous aide à mettre en place une maison d’édition dans notre région. Cela va beaucoup aider les écrivains koldois», a fait savoir M Diallo.

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Kolda – Les écrivains réclament une maison d’édition dans le sud https://actunet.net/actualite/kolda-les-ecrivains-reclament-une-maison-dedition-au-sud-du-pays/ https://actunet.net/actualite/kolda-les-ecrivains-reclament-une-maison-dedition-au-sud-du-pays/#comments Fri, 13 Apr 2018 13:46:30 +0000 http://actunet.net/?p=117474   Le Fouladou s’est distingué ces dernières années par une production littéraire de qualité avec à la clé des œuvres qui ont remporté des prix précieux.  Le doyen des écrivains de Kolda en l’occurrence Seydou Sow a reçu  le Grand Prix du Chef de l’Etat. En 1995 Idrissa Sow Gorkodjo remporte à son tour le troisième […]]]>

 

Le Fouladou s’est distingué ces dernières années par une production littéraire de qualité avec à la clé des œuvres qui ont remporté des prix précieux.  Le doyen des écrivains de Kolda en l’occurrence Seydou Sow a reçu  le Grand Prix du Chef de l’Etat. En 1995 Idrissa Sow Gorkodjo remporte à son tour le troisième prix de Teham éditions en France puis Abdourahmane Diallo, va recevoir la même distinction en 1997. Sans oublier Diéo Guèye cette écrivaine conteuse qui a remporté le prix Birago Diop du conte décerné par l’association des écrivains du Sénégal.
Cependant, derrière ces succès, se cachent des difficultés qui freinent la promotion du livre. Le premier problème évoqué par les écrivains est  relatif à «la maison d’édition». Kolda n’en dispose pas. Idem pour toute la Casamance. «Kolda n’a pas de maison d’édition. Éditer un livre reste un casse-tête pour nous autres écrivains du sud», a déploré Diénéba Guèye présidente du Cercle des écrivains de Kolda. « Nous écrivons beaucoup mais c’est parfois très compliqué car les éditeurs sont à Dakar. On est obligé de faire ce qu’ils nous demandent ».  Son collègue Abdourahmane Diallo embouche la même trompette et lance dans la foulée  un appel aux plus hautes autorités du pays. «Nous lançons un appel au Président de la République pour qu’il nous aide à mettre en place une maison d’édition dans notre région. Cela va beaucoup aider les écrivains koldois», a fait savoir M Diallo.
L’autre problème auquel les écrivains sont confrontés, c’est que «les livres sont très peu vendus». Conséquence, «les écrivains produisent mais ne parviennent pas à vivre de  leur art», selon M Diallo. Pour inverser cette tendance, ces acteurs culturels du Fouladou vont vers l’organisation d’un festival de contes et d’une journée internationale du Livre, selon le Directeur du Centre culturel de Kolda. De l’avis d’Abdoulaye Lamine Baldé ces deux grands projets vont contribuer à faire « la promotion du livre et de la lecture publique dans la région de Kolda». Dans la même veine, le patron des acteurs culturels de Kolda invite les écrivains à travailler en collaboration avec les acteurs de l’éducation afin qu’ils soient davantage connus du grand public.
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Bernard Dadié fête ses 102 ans- Le père de la littérature ivoirienne est le seul écrivain africain à avoir passé le cap du centenaire https://actunet.net/actu_express/bernard-dadie-fete-102-ans-pere-de-litterature-ivoirienne-seul-ecrivain-africain-a-passe-cap-centenaire/ https://actunet.net/actu_express/bernard-dadie-fete-102-ans-pere-de-litterature-ivoirienne-seul-ecrivain-africain-a-passe-cap-centenaire/#comments Fri, 12 Jan 2018 01:52:44 +0000 http://actunet.net/?p=104835 Bernard Binlin Dadié est le seul écrivain africain à avoir passé le cap du centenaire. Une «performance» qui lui vaut d’être aujourd’hui plus célébré encore qu’auparavant. Son nom à été donné à une rue d’Abidjan et, en 2016, l’Unesco lui a décerné le premier prix Jaime Torres en saluant en lui «un pionnier et géant […]]]>

Bernard Binlin Dadié est le seul écrivain africain à avoir passé le cap du centenaire. Une «performance» qui lui vaut d’être aujourd’hui plus célébré encore qu’auparavant. Son nom à été donné à une rue d’Abidjan et, en 2016, l’Unesco lui a décerné le premier prix Jaime Torres en saluant en lui «un pionnier et géant de la littérature africaine». La colonisation et ses effets traversent ses écrits.

Romancier, poète, conteur, dramaturge, il touche à tous les genres littéraires et rédige sa première pièce de théâtre, «Les Villes», à l’âge de 15 ans. Son oeuvre d’une vingtaine d’ouvrages est lue et étudiée dans de nombreux pays francophones. Comme «Le Pagne noir» publié en 1955 et vantant le patrimoine africain méconnu. Militant anti-colonial, il s’engage ensuite en politique aux côtés du président Houphouët-Boigny dont il devient le ministre de la Culture (1977-1986)

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Le Prix Nobel de littérature pour Aminata Sow Fall ? https://actunet.net/societe/prix-nobel-de-litterature-aminata-sow-fall/ https://actunet.net/societe/prix-nobel-de-litterature-aminata-sow-fall/#comments Wed, 20 Sep 2017 18:40:06 +0000 http://actunet.net/?p=75290 Le très prestigieux Prix Nobel de littérature pourrait revenir à Aminata Sow Fall, l’année prochaine. Son dernier roman, “L’empire du mensonge”, publié 12 ans après le mythique “La Grève des battù”, pourrait être dans les sélections. Le best-seller est vendu en 3000 exemplaires en un mois, pourrait être réédité par un important éditeur parisien, révèle […]]]>

Le très prestigieux Prix Nobel de littérature pourrait revenir à Aminata Sow Fall, l’année prochaine. Son dernier roman, “L’empire du mensonge”, publié 12 ans après le mythique “La Grève des battù”, pourrait être dans les sélections.

Le best-seller est vendu en 3000 exemplaires en un mois, pourrait être réédité par un important éditeur parisien, révèle Nabil Haïdar, éditeur de Aminata Sow Fall, dans un entretien accordé au journal Sud Quotidien. “Nous avons décroché, il y a à peu près un mois, un contrat avec un important éditeur parisien, qui est intéressé pour revendre  “L’Empire du mensonge”, et qui veut le publier en France, en Europe et le diffuser un peu partout”, explique l’éditeur. Mais, il ne souhaite pas en dire plus.

“Pour l’instant, je peux juste dire que c’est un éditeur qui fait partie du groupe La Martinière, qui comprend les Editions du Seuil, les Editions de l’Olivier, etc. Pour l’instant, je ne peux pas en parler. J’espère que ce livre sera diffusé un peu partout, dans tous les pays francophones, jusqu’au Vietnam, jusqu’au Liban et que l’envergure de l’auteur et sa notoriété feront peut-être de Madame Aminata Sow Fall, l’année prochaine, le prix Nobel de Littérature”, dit-il

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Les premières sélections du Goncourt et du Renaudot manquent d’audace https://actunet.net/culture/premieres-selections-goncourt-renaudot-manquent-daudace/ https://actunet.net/culture/premieres-selections-goncourt-renaudot-manquent-daudace/#comments Tue, 05 Sep 2017 21:24:23 +0000 http://actunet.net/?p=68793 eu de premiers romans voire aucun, des auteurs confirmés plutôt que débutants: les premières sélections de l’académie Goncourt et du Renaudot en vue de l’attribution des grands prix littéraires d’automne font la part belle aux valeurs sûres au détriment des découvertes. Et encore, ces deux titres, “Innocence” (Grasset) d’Eva Ionesco et “Fief” (Seuil) de David […]]]>

eu de premiers romans voire aucun, des auteurs confirmés plutôt que débutants: les premières sélections de l’académie Goncourt et du Renaudot en vue de l’attribution des grands prix littéraires d’automne font la part belle aux valeurs sûres au détriment des découvertes.

Et encore, ces deux titres, “Innocence” (Grasset) d’Eva Ionesco et “Fief” (Seuil) de David Lopez, ne figurent que dans la sélection du Renaudot. Le Goncourt n’a retenu cette année aucun premier roman.

Parmi les 390 livres d’auteurs francophones de la rentrée littéraire, on compte cette année 81 premiers romans.

Peu de premiers romans voire aucun, des auteurs confirmés plutôt que débutants: les premières sélections de l’académie Goncourt et du Renaudot en vue de l’attribution des grands prix littéraires d’automne font la part belle aux valeurs sûres au détriment des découvertes.

Parmi la trentaine de romans sélectionnés lundi et mardi par les jurys du Renaudot et du Goncourt ne figurent que deux premiers romans.

Et encore, ces deux titres, “Innocence” (Grasset) d’Eva Ionesco et “Fief” (Seuil) de David Lopez, ne figurent que dans la sélection du Renaudot. Le Goncourt n’a retenu cette année aucun premier roman.

Parmi les 390 livres d’auteurs francophones de la rentrée littéraire, on compte cette année 81 premiers romans.

Les titres retenus dans la première sélection du Goncourt sont en lice automatiquement pour le convoité Goncourt des lycéens. L’an dernier c’est l’auteur d’un premier roman, Gaël Faye, qui avait remporté ce prix grâce à sa sélection lors du premier choix de l’académie Goncourt.

Alors que la diversité de l’offre est immense, les jurys du Goncourt et du Renaudot ont retenu cinq mêmes auteurs dans leur sélection. Il s’agit d’auteurs confirmés, unanimement et justement salués par la critique: Kaouther Adimi pour “Nos richesses” (Seuil), François-Henri Désérable pour “Un certain M. Piekielny” (Gallimard), Olivier Guez pour “La disparition de Josef Mengele” (Grasset), son deuxième roman, Philippe Jaenada pour “La serpe” (Julliard) et Alice Zeniter pour “L’art de perdre” (Flammarion).

La romancière Alice Zeniter doit recevoir vendredi le convoité prix des libraires de Nancy et est en lice pour le prix littéraire du journal Le Monde qui sera décerné mercredi. Trois autres auteurs sélectionnés par le Goncourt (François-Henri Désérable, “Un certain M. Piekielny”, Gallimard; Patrick Deville, “Taba-Taba”, Seuil et Monica Sabolo, “Summer”, JC Lattès) sont également en lice pour le prix du Monde.

La romancière Véronique Olmi, sélectionnée par le Goncourt pour “Bakhita” (Albin Michel) compte parmi les cinq finalistes du prix Fnac qui sera décerné le 13 septembre.

– Absents de marque –

Cela ne veut pas dire que les jurys des grands prix littéraires ne jurent que par les “valeurs sûres” de la littérature. Ils ont choisi d’ignorer dans leur sélection plusieurs titres plébiscités par le public.

C’est ainsi qu’on ne trouve pas Amélie Nothomb dont le 25e roman, “Frappe-toi le coeur” (Albin Michel) est en tête des meilleures ventes en catégorie romans, ni le populaire Sorj Chalandon (“Le jour d’après”, Grasset).

Parmi les autres oubliés de marque, on remarque notamment l’absence de Chantal Thomas (“Souvenirs de la marée basse”, Seuil) ou d’Eric Reinhardt (“La chambre des époux”, Gallimard).

Il faut également souligner que certains des auteurs sélectionnés, même si ce ne sont pas des primo-romanciers, manquent encore de notoriété. C’est le cas d’Yves Bichet, pourtant finaliste du Femina en 2014, qui a été sélectionné par le Renaudot pour “Indocile” (Mercure de France) ou d’Alexis Ragougneau, retenu par l’académie Goncourt pour “Niels” (Viviane Hamy).

La plus grande surprise est la sélection dans la liste du Goncourt du roman d’Eric Vuillard, “L’ordre du jour” (Actes Sud), un fantastique récit sur la prise du pouvoir des nazis en Allemagne. Le roman est sorti en mai bien avant la rentrée d’automne.

Le jury du Renaudot affinera sa sélection à deux autres reprises les 3 et 31 octobre. L’académie Goncourt fera connaître sa deuxième sélection le 11 octobre à l’occasion de la Foire du livre de Francfort dont la France est le pays invité d’honneur, puis désignera ses finalistes le 30 octobre.

Le Goncourt et le Renaudot seront décernés le 6 novembre.

La semaine prochaine ce sera au tour des jurys du prix Médicis (le 13 septembre) puis du prix Femina (le 14 septembre) de dévoiler leur première sélection.

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