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France : Après sa nomination, Pap Ndiaye lynché par Zemmour, Le Pen…
Fraîchement promu à la tête de l’éducation nationale, Pap Ndiaye suscite moult réactions de ténors de la scène politique française. Sur leurs différentes plateformes sociales, ces leaders, majoritairement d’extrême droite, ont décrié le choix porté sur l’historien d’origine sénégalaise lui reprochant son engagement en faveur des minorités et notamment des noirs. La première à s’insurger sur Twitter est Marine Le Pen. La figure de proue du Rassemblement national a écrit sur son compte : « La nomination de Pap Ndiaye, indigéniste assumé, à l’Education nationale est la dernière pierre de la déconstruction de notre pays, de ses valeurs et de son avenir ». A ce titre, la deuxième à la dernière élection présidentielle française en a profité pour donner une consigne de vote en vue des législatives pour « protéger (la) jeunesse des pires idéologies » !
Une autre réaction qui n’a pas tardé, celle d’Eric Zemmour. Le polémiste français a fait allusion à l’une des déclarations d’Emmanuel Macron par rapport à la question raciale disant qu’il fallait « d’une certaine manière déconstruire notre propre histoire ». Pour le candidat de Reconquête : « Pap Ndiaye va s’en charger ».
International
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“Les enseignants n’ont jamais demandé de ne pas payer l’impôt” (Saourou Sène, SAEMS)
DR CHEIKH DIENG DU PDS : «Karim Wade était contre toute entente avec Yewwi qu’il perçoit comme son principal adversaire en 2024»
Il est le chargé des élections du Parti démocratique sénégalais (Pds), mais n’a joué aucun rôle majeur dans le processus électoral menant aux prochaines législatives.
Selon le quotidien Les Échos qui lui a accordé un entretien, Dr Cheikh Dieng dit à qui veut l’entendre qu’il a été mis au frigo parce qu’il «a tenu tête à Karim» en militant en faveur d’une coalition Yewwi/Wallu.
S’il y a un responsable du retard noté dans la concrétisation du partenariat entre Yewwi Askan Wi et Wallu Sénégal pour les élections législatives, c’est Karim Wade, selon Cheikh Dieng.
Placé 37ème sur la liste nationale, le chargé des élections dit savoir ce qui lui vaut cette «punition». En effet, tout est parti d’un bilan post- locales fait par l’ancien maire de Djeddah/Thiaroye Kao, soumis à Karim Wade.
«En ma qualité de responsable des Elections du Pds, j’ai fait un bilan des résultats mitigés des élections locales pour le Pds avec Karim Wade qui assure de fait la fonction de direction du parti», renseigne Cheikh Dieng.
Selon lui, deux points essentiels soulevés dans le bilan ont fait l’objet de profondes divergences entre lui et Karim Wade : le retour de Wade-fils et la stratégie électorale en direction des législatives.
D’après Cheikh Dieng, les résultats de la coalition Wallu Sénégal lors de ces locales sont dus à ce vide sur la chaise de Karim. Selon lui, la présence de Karim aurait permis de «relever le niveau de performances afin de mettre un terme à la spirale régressive du parti depuis 2019».
Pour lui, Karim a la responsabilité historique de sauver le parti pour ces dernières échéances qui précédent à peine 18 mois la prochaine présidentielle ; cela aurait un l’effet de rassurer quand à l’effectivité de sa candidature.
Le deuxième point de divergence entre Cheikh Dieng et Karim était basé sur la recherche de solutions pour coaliser Yewwi Askan Wi et Wallu Sénégal.
«Le bilan des locales a démontré l’erreur stratégique de sortir de la coalition Yewwi dont nous étions membre fondateur et qui se révèle aujourd’hui la première force politique de l’opposition», a fait savoir le chargé des élections du Pds.
L’ancien maire de Djeddah/Thiaroye Kao soutient que lui et ses frères de parti doivent «avoir le courage d’assumer cette erreur d’appréciation en entamant des négociations sérieuses avec Yewwi et Gueum Sa Bop, de sorte à mettre en place les conditions d’une majorité législative qui permettrait de modifier les termes des articles L.28 et L.29 pour assurer l’éligibilité de Karim Wade et de Khalifa Sall en 2024».
Se félicitant de cette entente nouée entre Yewwi et Wallu, Cheikh Dieng a désigné Pikine comme berceau de ce deal. «J’ai personnellement mis en place l’inter-coalition Wallu/Yewwi/Defar Sa Gokh/Reewum Ngor qui a porté le combat lors du hold-up de la Mairie de Ville gagnée par Wallu», dit-il.
Pour Dr Cheikh Dieng, ce cadre de concertation départementale a très tôt compris l’enjeu d’aller ensemble aux prochaines législatives pour assurer une victoire de l’opposition dans le département.
«Cette démarche a inspiré ce qui est devenu aujourd’hui la grande coalition Yewwi/Wallu», précise Cheikh Dieng.
Revenant sur le processus adopté pour validation de cette grande coalition, il affirme que la proposition a été faite très tôt mais elle s’est heurtée à la réticence de Karim Wade.
«C’est Karim Wade qui a rejeté toute perspective d’alliance avec Yewwi perçu comme le principal adversaire en 2024. Doit-on anticiper sur cette perspective avant l’heure, au risque d’handicaper lourdement notre liste pour les législatives et se retrouver pour la première fois de l’histoire du parti sans groupe parlementaire à l’Assemblée nationale ?»,tonne t-il avant de préciser qu’il doit sa 37ème place sur la liste nationale à ces divergences.
«J’ai été écarté de la mise en place du Directoire de campagne. J’ai été confiné dans le parrainage et éloigné de toute fonction stratégique dans le dispositif organisationnel», dénonce Cheikh Dieng.
D’ailleurs, c’est dans la presse, dit-il, qu’il a eu connaissance de cette circulaire pendant qu’il attendait la signature de la circulaire qu’il a proposée à Karim Wade.
Malgré tout, Dr Cheikh Dieng réaffirme son appartenance à l’opposition sénégalaise et dit soutenir la liste Yewwi/Wallu du département de Pikine.
France : Ce qu’il faut savoir sur Pap Ndiaye, nouveau ministre de l’Education
Pris à partie, Patrick Vieira (Crystal Palace) s’en prend à un supporter d’Everton
Patrick Vieira, l’entraîneur de Crystal Palace a eu maille à partir avec un supporter d’Everton à la fin du match perdu par les Eagles (2-3), jeudi. Alors qu’il tentait de regagner le vestiaire, il a été chambré, provoqué – des insultes ont été lancées – puis bousculé par un supporter adverse. En réaction, le Français s’est retourné et lui a asséné un coup de pied au point de le faire tomber.
Ces dernières semaines, de nombreux incidents ou envahissements de terrain se sont produits en Angleterre.