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Surplus de parrains : Voici la décision du conseil constitutionnel invalidant la candidature de Gakou en 2019

S’il est vrai que Benno Bokk Yaakaar a déposé un nombre de parrains supérieur à ce qui est autorisé par la loi, le Conseil constitutionnel devrait logiquement invalider l’ensemble des listes. Du moins si la même loi qui s’était appliqué à Malick Gakou s’applique à Macky Sall et Cie.
 
En effet, à la présidentielle de 2019, les 7 ‘’Sages’’ avait effectivement invalidé la candidature du leader du Grand parti pour non respect du nombre autorisé.
 
« Considérant qu’il y a lieu de rappeler qu’El Hadji Malick Gakou, ayant présenté une liste de 67 842 parrains au moment de la déclaration de candidature, comme cela a été relevé dans la décision n° 2/E/2019, a dépassé le maximum de parrains autorisé par la loi lors du dépôt, soit 66 820 électeurs ; que ce dépassement suffit pour rendre sa candidature irrecevable », écrivait le Conseil constitutionnel dans sa décision n° 3/E/2019 du 20 janvier 2019 à travers le considérant numéro 14. 

Menaces de Sonko contre Macky: La jeunesse républicaine de Touba en ordre de bataille

C’est la réponse du berger à la bergère ! La jeunesse de la mouvance présidentielle de Touba est en ordre de bataille pour faire  face à l’opposition. Suite aux menaces proférées par Ousmane Sonko à l’encontre du palais, ces partisans du président Macky Sall se sont érigés en sentinelles pour prendre la défense de leur leader national.
 
En conférence de presse hier au quartier Madyana, les jeunes de Bby de la cité religieuse ont déclaré que rien ne sera plus comme avant.
 
” Œil pour Œil et dent pour dent. Nous invitons les jeunes de Bby à s’occuper du terrain et des réseaux sociaux. Nous ne devons plus céder la place à Ousmane Sonko et ses partisans. Nous sommes prêts à y laisser nos vies pour défendre le président Macky Sall”, a averti Talla Sylla de la Cojer locale.
 
L’occasion a été saisie par la jeunesse républicaine pour sermonner les frondeurs dans les rangs de Bby. Pour Abdou Fatah Diop, Bintou Diop et Modou Sall, ils feront face à ces leaders locaux qui tentent de compromettre la dynamique unitaire de leur coalition.

France : Après sa nomination, Pap Ndiaye lynché par Zemmour, Le Pen…

Fraîchement promu à la tête de l’éducation nationale, Pap Ndiaye suscite moult réactions de ténors de la scène politique française. Sur leurs différentes plateformes sociales, ces leaders, majoritairement d’extrême droite, ont décrié le choix porté sur l’historien d’origine sénégalaise lui reprochant son engagement en faveur des minorités et notamment des noirs. La première à s’insurger sur Twitter est Marine Le Pen. La figure de proue du Rassemblement national a écrit sur son compte : « La nomination de Pap Ndiaye, indigéniste assumé, à l’Education nationale est la dernière pierre de la déconstruction de notre pays, de ses valeurs et de son avenir ». A ce titre, la deuxième à la dernière élection présidentielle française en a profité pour donner une consigne de vote en vue des législatives pour « protéger (la) jeunesse des pires idéologies » !

Une autre réaction qui n’a pas tardé, celle d’Eric Zemmour. Le polémiste français a fait allusion à l’une des déclarations d’Emmanuel Macron par rapport à la question raciale disant qu’il fallait « d’une certaine manière déconstruire notre propre histoire ». Pour le candidat de Reconquête : « Pap Ndiaye va s’en charger ».

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International

France : Après sa nomination, Pap Ndiaye lynché par Zemmour, Le Pen…

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Eric Zemmour et Marine LePen critiquent le nouveau ministre Pap Ndiaye
Fraîchement promu à la tête de l’éducation nationale, Pap Ndiaye suscite moult réactions de ténors de la scène politique française. Sur leurs différentes plateformes sociales, ces leaders, majoritairement d’extrême droite, ont décrié le choix porté sur l’historien d’origine sénégalaise lui reprochant son engagement en faveur des minorités et notamment des noirs. La première à s’insurger sur Twitter est Marine Le Pen. La figure de proue du Rassemblement national a écrit sur son compte : « La nomination de Pap Ndiaye, indigéniste assumé, à l’Education nationale est la dernière pierre de la déconstruction de notre pays, de ses valeurs et de son avenir ». A ce titre, la deuxième à la dernière élection présidentielle française en a profité pour donner une consigne de vote en vue des législatives pour « protéger (la) jeunesse des pires idéologies » !

 
Une autre réaction qui n’a pas tardé, celle d’Eric Zemmour. Le polémiste français a fait allusion à l’une des déclarations d’Emmanuel Macron par rapport à la question raciale disant qu’il fallait « d’une certaine manière déconstruire notre propre histoire ». Pour le candidat de Reconquête : « Pap Ndiaye va s’en charger ».

 
Depuis sa nomination, une capture d’écran d’un événement intitulé « Paroles non blanches » circule sur Twitter. Organisé en avril 2016 dans le but d’apporter des éléments supplémentaires « absents » des débats dans un contexte d’instauration de la loi travail, ce séminaire avait vu la participation de Pap Ndiaye. Si ces détracteurs ont ressorti cette rencontre 6 ans plus tard, c’est à cause de son caractère « anti-blancs ». « En 2016, Pap NDiaye participait donc à des « réunions en non mixité » (interdites aux blancs), explique Damien Rieu (un proche de Zemmour)  aux côtés des pires « indigénistes » dans le « bâtiment occupé » de l’université Paris 8. Voici celui qui sera chargé de l’éducation de nos enfants ». 
 
Un militantisme en faveur de la cause noire, également déploré par Georges Kuzmanovic. « Le nouveau ministre de l’éducation est #PapNdiaye, un des “papes” du wokisme, de l’indigénisme et de l’importation des délires sociétaux anglo-saxons », dit le candidat n’ayant pas réussi à passer l’étape des parrainages lors de la dernière présidentielle. 

 

 

 

Le mécanicien indélicat déféré au parquet pour avoir roulé son client dans la farine

Le sieur Adama Ndiaye va, désormais, réfléchir avant de commettre un tel acte. 
 
Le nommé Cheikh Mbacké avait des relations fraternelles avec Adama Ndiaye.
C’est ainsi que, rapporte le quotidien L’AS, M. Ndiaye était devenu le mécanicien favori de Cheikh Mbacké.
 
Au début de l’année 2022, le sieur Mbacké avait donné à Adama son véhicule 4×4 pour une réparation. 
 
Comme la panne était assez sérieuse, Cheikh Mbacké s’est résolu à vendre le véhicule à un prix dérisoire.
 
Ainsi,  sans aucune arrière-pensée, il demande au mécanicien de se charger de la vente.
 
Seulement après avoir vendu le véhicule, Adama Ndiaye n’a pas remis l’argent à son propriétaire qui a remué ciel et terre pour rentrer dans ses fonds.
 
N’en pouvant plus, Cheikh Mbacké a déposé une plainte à la police pour escroquerie.
 
Cueilli, le sieur Ndiaye a été déféré au parquet puis placé sous mandat de dépôt.
 
Devant la barre hier, Adama a reconnu purement et simplement les faits qui lui sont reprochés.
 
C’est ainsi que le juge lui a demandé s’il était prêt à rembourser et il a répondu par l’affirmative.
 
D’ailleurs, il a fait signe à un de ses amis dans la salle d’audience de lui apporter l’argent.
 
Le juge demande à l’huissier de vérifier si l’enveloppe contient 1,5 million Fcfa. 
 
Après vérification, Cheikh Mbacké est rentré dans ses fonds.
 
Finalement, Adama Ndiaye a écopé d’une peine d’avertissement de 3 mois avec sursis.

“Les enseignants n’ont jamais demandé de ne pas payer l’impôt” (Saourou Sène, SAEMS)

A travers un  communiqué, la Cellule de communication du  ministère des Finances et du Budget a fait savoir que l’augmentation de salaires des enseignants serait bel et bien effective à partir de la fin du mois de mai.
 
Cependant, excepté l’indemnité représentative de logement, toutes les revalorisations seront fiscalisées. En effet, cette partie de fiscalité évoquée dans le communiqué a suscité la réaction des syndicats d’enseignants qui disent ne pas comprendre le jeu du gouvernement, car cette question avait été déjà réglée avant la signature du protocole d’accord.
Hier, lors d’une rencontre entre le gouvernement et les syndicats d’enseignants du G7, pour mettre en place une commission technique, Saourou Sène, le secrétaire général du SAEMS, en a profité pour préciser que les enseignants n’ont jamais demandé la non-imposition de leurs indemnités.
 
«C’est vrai qu’on a accusé beaucoup de retard pour tenir cette réunion-là. Mais aujourd’hui, nous avons déjà dégagé un canevas de travail. A côté d’un comité de suivi des accords, nous avons mis en place un comité technique qui devra se réunir tous les mois pour suivre régulièrement la matérialisation des accords. Nous avons échangé sur un certain nombre de questions, notamment la modification du décret 77-11-77 du 30 décembre 1977 pour aller vers la création du corps de PCMG en EPS. Cette question-là, nous avons beaucoup échangé  là-dessus, parce que c’est une question qui n’a que trop duré.
 
L’autre élément sur lequel nous sommes revenus, c’est au niveau de l’éducation nationale, notamment les modifications apportées à la rémunération par rapport aux différents examens. Pour moi, c’est  inutile d’évoquer la question de la fiscalité, pour la bonne et simple raison que nous l’avons déjà réglée lors de la rencontre gouvernement-syndicats avant la signature du protocole. Les enseignants n’ont jamais demandé de ne pas payer l’impôt, parce qu’ils sont des citoyens comme tout Sénégalais», a précisé Saourou Sène, Secrétaire général du SAEMS sur la RFM.

DR CHEIKH DIENG DU PDS : «Karim Wade était contre toute entente avec Yewwi qu’il perçoit comme son principal adversaire en 2024»

Il est le chargé des élections du Parti démocratique sénégalais (Pds), mais n’a joué aucun rôle majeur dans le processus électoral menant aux prochaines législatives.

Selon le quotidien Les Échos qui lui a accordé un entretien, Dr Cheikh Dieng dit à qui veut l’entendre qu’il a été mis au frigo parce qu’il «a tenu tête à Karim» en militant en faveur d’une coalition Yewwi/Wallu.

S’il y a un responsable du retard noté dans la concrétisation du partenariat entre Yewwi Askan Wi et Wallu Sénégal pour les élections législatives, c’est Karim Wade, selon  Cheikh Dieng.

Placé 37ème sur la liste nationale, le chargé des élections dit savoir ce qui lui vaut cette «punition». En effet, tout est parti d’un bilan post- locales fait par l’ancien maire de Djeddah/Thiaroye Kao, soumis à Karim Wade.

«En ma qualité de responsable des Elections du Pds, j’ai fait un bilan des résultats mitigés des élections locales pour le Pds avec Karim Wade qui assure de fait la fonction de direction du parti», renseigne Cheikh Dieng.

Selon lui, deux points essentiels soulevés dans le bilan ont fait l’objet de profondes divergences entre lui et Karim Wade : le retour de Wade-fils et la stratégie électorale en direction des législatives.

D’après Cheikh Dieng, les résultats de la coalition Wallu Sénégal lors de ces locales sont dus à ce vide sur la chaise de Karim. Selon lui, la présence de Karim aurait permis de «relever le niveau de performances afin de mettre un terme à la spirale régressive du parti depuis 2019».

Pour lui, Karim a la responsabilité historique de sauver le parti pour ces dernières échéances qui précédent à peine 18 mois la prochaine présidentielle ; cela aurait un l’effet de rassurer quand à l’effectivité de sa candidature.

Le deuxième point de divergence entre Cheikh Dieng et Karim était basé sur la recherche de solutions pour coaliser Yewwi Askan Wi et Wallu Sénégal.

«Le bilan des locales a démontré l’erreur stratégique de sortir de la coalition Yewwi dont nous étions membre fondateur et qui se révèle aujourd’hui la première force politique de l’opposition», a fait savoir le chargé des élections  du Pds.

L’ancien maire de Djeddah/Thiaroye Kao soutient que lui et ses frères de parti doivent «avoir le courage d’assumer cette erreur d’appréciation en entamant des négociations sérieuses avec Yewwi et Gueum Sa Bop, de sorte à mettre en place les conditions d’une majorité législative qui permettrait de modifier les termes des articles L.28 et L.29 pour assurer l’éligibilité de Karim Wade et de Khalifa Sall en 2024».

Se félicitant de cette entente nouée entre Yewwi et Wallu, Cheikh Dieng a désigné Pikine comme berceau de ce deal. «J’ai personnellement mis en place l’inter-coalition Wallu/Yewwi/Defar Sa Gokh/Reewum Ngor qui a porté le combat lors du hold-up de la Mairie de Ville gagnée par Wallu», dit-il.

Pour Dr Cheikh Dieng, ce cadre de concertation départementale a très tôt compris l’enjeu d’aller ensemble aux prochaines législatives pour assurer une victoire de l’opposition dans le département.

«Cette démarche a inspiré ce qui est devenu aujourd’hui la grande coalition Yewwi/Wallu», précise Cheikh Dieng.
Revenant sur le processus adopté pour validation de cette grande coalition, il affirme que la proposition a été faite très tôt mais elle s’est heurtée à la réticence de Karim Wade.

«C’est Karim Wade qui a rejeté toute perspective d’alliance avec Yewwi perçu comme le principal adversaire en 2024. Doit-on anticiper sur cette perspective avant l’heure, au risque d’handicaper lourdement notre liste pour les législatives et se retrouver pour la première fois de l’histoire du parti sans groupe parlementaire à l’Assemblée nationale ?»,tonne t-il avant de préciser qu’il doit sa 37ème place sur la liste nationale à ces divergences.

«J’ai été écarté de la mise en place du Directoire de campagne. J’ai été confiné dans le parrainage et éloigné de toute fonction stratégique dans le dispositif organisationnel», dénonce Cheikh Dieng.

D’ailleurs, c’est dans la presse, dit-il, qu’il a eu connaissance de cette circulaire pendant qu’il attendait la signature de la circulaire qu’il  a proposée à Karim Wade.

Malgré tout, Dr Cheikh Dieng réaffirme son appartenance à l’opposition sénégalaise et dit soutenir la liste Yewwi/Wallu du département de Pikine.

France : Ce qu’il faut savoir sur Pap Ndiaye, nouveau ministre de l’Education

Pap Ndiaye est le successeur de Jean-Michel Blanquer au ministère de l’éducation nationale. Pap Ndiaye était, jusque là, directeur général de l’établissement public du Palais de la Porte Dorée, qui rassemble le Musée national de l’histoire de l’immigration et l’Aquarium tropical.
 
Des médias français confirment la nomination  M .Ndiaye comme  ministre de l’éducation  nationale  dans le nouveau gouvernement français dirigé par Elisabeth Borne, nouvelle Première Ministre.
Agrégé et docteur en histoire, professeur des universités à Sciences Po Paris et ancien directeur du département d’histoire de l’Institut d’études politiques (IEP), Pap Ndiaye est spécialiste de l’histoire sociale des États-Unis, particulièrement celle des minorités.
 
Historien, spécialiste des situations minoritaires
 
Pap Ndiaye est spécialiste d’histoire sociale des États-Unis, particulièrement des minorités. Il s’intéresse également aux situations minoritaires en France (histoire et sociologie des populations noires). Normalien, agrégé et docteur en histoire, diplômé de l’université de Virginie (M.A.), il a enseigné en France (EHESS) et aux États-Unis (université de Pennsylvanie, New York University, Nortwestern University).
 
Il travaille actuellement à une histoire mondiale des droits civiques au 20e siècle, en envisageant cette question dans une perspective transnationale
 
Pap Ndiaye, frère de la Romancière Marie NDiaye
 
De père sénégalais et de mère française, Pap Ndiaye a passé son enfance en banlieue parisienne avec sa mère et sa jeune sœur, la romancière Marie NDiaye. Leur mère, Simone, est issue d’une famille de fermiers de la Beauce ; leur père, Tidiane N’Diaye, est le premier ingénieur diplômé de l’École nationale des ponts et chaussées d’Afrique subsaharienne. Le couple s’était rencontré à la résidence universitaire d’Antony mais Tidiane N’Diaye finit par repartir au Sénégal alors que Pap Ndiaye a trois ans et Marie un an.
 
Leur mère, désormais professeure de sciences naturelles dans un collège, les élève donc seule. Entre la vie à Bourg-la-Reine et les vacances dans la ferme familiale en Beauce, ils ont une « enfance française ».
 
À noter que Simone, Pap et Marie ont chacun choisi une graphie différente pour leur nom de famille (respectivement N’Diaye, Ndiaye et NDiaye).
 
Pap Ndiaye est le compagnon de la sociologue Jeanne Lazarus. Ils sont parents de deux enfants.

Pris à partie, Patrick Vieira (Crystal Palace) s’en prend à un supporter d’Everton

Patrick Vieira, l’entraîneur de Crystal Palace a eu maille à partir avec un supporter d’Everton à la fin du match perdu par les Eagles (2-3), jeudi. Alors qu’il tentait de regagner le vestiaire, il a été chambré, provoqué – des insultes ont été lancées – puis bousculé par un supporter adverse. En réaction, le Français s’est retourné et lui a asséné un coup de pied au point de le faire tomber.

Ces dernières semaines, de nombreux incidents ou envahissements de terrain se sont produits en Angleterre.

 

 

Energie : Macky Sall et le Chancelier allemand vont inaugurer la centrale photovoltaïque de Diass, ce dimanche

 
“Cette centrale d’une capacité de 23 MW est le fruit de la coopération sénégalo-allemande à travers la KFW et est l’une des trois (3) composantes du programme de promotion des énergies renouvelables initié par les deux pays pour un montant de 34 millions d’euros. L’énergie produite par cette centrale d’un coût de plus de 20 millions d’euros permet d’alimenter plus de 33 000 ménages et de générer pour l’Etat du Sénégal à travers Senelec une économie estimée à 1 743 837 888FCFA par année par rapport à une centrale thermique à fioul”, renseigne la Senelec dans un communiqué.
La réalisation de cette centrale va également répondre à certaines préoccupations d’ordre environnemental, précise la SENELEC : “Ce projet participe au mix énergétique prôné par l’Etat du Sénégal et contribue à l’augmentation de la part des énergies renouvelables sur le réseau de Senelec et sensiblement à l’équilibre offre/demande et permet la réduction de l’empreinte carbone avec environ 25 668 tonnes de gaz carbonique évitées. Il concourt à la préservation de l’environnement avec la réduction des émissions des gaz à effet de serre”.
 
Sur le plan social, la centrale de Diass génère 15 emplois en phase exploitation et a permis la création de 350 emplois directs en phase de construction. 
 
Le projet comprend également deux autres composantes : La composante 2 avec la réalisation des centrales hybrides solaire/diesel de Goudiry, Kidira et Médina-Gounass ; la composante 3 avec la réalisation des centrales hybrides (solaire/diesel/batteries) de Dionewar, Bassoul, Bettenty et Djirnda dans l’archipel du Saloum.

Création de faux messages whatsApp : La nouvelle arme des politiques

Depuis quelques heures, une supposée discussion entre le leader de Pastef, Ousmane Sonko et celui de Bes Du Niak, Serigne Mansour Sy Djamil, fait le tour des réseaux sociaux. Dans le message prêté à Ousmane Sonko, il est dit ceci : « Mansour Sy Djamil, avec tout le respect que je vous dois, arrêtez avec cette guerre de positionnement. Le coup est déjà parti. Je suis sorti blanchir tout le monde, ce qui n’est pas évident pour moi et mes conseillers. Nous avons commis une grossière erreur avec cette légèreté qui n’est rien d’autre que l’ignorance de la loi par Khalifa et Déthié. Sur ce, concentrons-nous sur l’essentiel et récupérons les militants frustrés. Les querelles internes ne nous avancent en rien. Mansour Sy je vous invite au calme et à la sérénité. Il n’y a que des responsables ici. Soyez courtois et dispensez nous de jugements sur tel ou telle. »
 
Après vérifications, il s’est trouvé que ce message n’a jamais été écrit par le leader de Pastef dans le groupe WhatsApp de la Conférence des leaders de Yewwi. « Je n’ai jamais vu ce message dans notre groupe », renseigne une source autorisée. Selon toujours ce dernier, « ces faux messages visent à créer une tension au sein de la coalition ».
Par ailleurs, le membre de Pastef, Amadou Ba, accuse sur sa page facebook, les membres de l’APR. « Ces faux messages sont relayés par de hautes personnalités de l’Apr alors que c’est uniquement du Deep fake », a-t-il fustigé. Amadou Ba juge que ces échanges fabriqués « relèvent de la fantasmagorie ». Il appelle ainsi les leaders de Yewwi à « commettre un huissier de justice pour capturer toutes les publications frauduleuses relayées par des personnalités du régime et leur servir des citations directes ».
 
La diffusion de fake news ou fausses informations devient monnaie courante surtout en cette période pré-électorale. Elle vise principalement la manipulation de l’opinion. D’où l’importance notamment pour les professionnels de l’information de redoubler de vigilance pour ne pas tomber dans le piège.
Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention