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Clash entre Macky et Thierno Alassane – Les raisons d’une déchirure

Par Ndiogou Cissé

Thierno Alassane Sall est de nouveau démissionnaire du gouvernement. Preuve que son départ est intervenu dans un contexte particulier et en catimini, à la place d’un remplaçant désigné suite à son «limogeage», c’est le Premier ministre himself qui va assurer l’intérim du chef du département de l’Énergie. Thierno Alassane Sall est, en tant que membre fondateur du parti présidentiel, le coordonnateur communal de l’Apr à Thiès. En tout cas, après la publication de son départ du gouvernement dont certains ont qualifié de «démission», et d’autres sources affirment qu’il s’agit d’un «limogeage», les recherches ont commencé pour savoir les rai- sons du clash entre le désormais ex ministre de l’Énergie et du développement des énergies re- nouvelables, Thierno Alassane Sall, et le Président Sall. À propos de ce «limogeage», on apprend qu’il est intervenu à la suite d’un différend entre lui, le ministre en question, le Premier ministre et le Président de la République, concernant des accords avec Total. Pour sa part, nous dit-on, Thierno Alassane Sall qui n’a pas suivi les instructions de Macky Sall et du chef du gouvernement, a refusé d’avaliser les accords précités. Pour rappel, lors de la dernière visite en France du Président Macky Sall, où il a été question de Train express régional, les hydrocarbures du Sénégal avaient aiguisé l’appétit de certaines multinationales françaises dont Total, qui s’est particuliè- rement intéressée à l’Offshore profond. Si du côté de l’État il n’y a pas eu à redire avec Total qui est la 4ème compagnie mon- diale, pour le ministre Thierno Alassane qui, selon des sources au fait de sa position, n’a pas voulu cautionné pour Total. La multinationale française n’est pas la seule au banc des accusés à l’origine du départ de Thierno Alassane. L’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye qui lui a tressé deslauriers en le qualifiant de meilleur ministre, est aussi pointé du doigt. Quoi qu’il puisse avoir entre Macky et Thierno Alassane Sall, ce dernier est ré- puté intraitable. C’est ce qui explique qu’il a claqué la porte du gouvernement en refusant de signer un document qui ferait les choux gras des lobbies financier

BAMBA FALL «Mes camarades de parti ne sont pas venus me voir en prison… »

En marge d’une visite de courtoisie dans les nouveaux locaux du groupe Dmedia, le Maire de la Médina, Bamba Fall, a soutenu que sa priorité du moment c’est la libération de Khalifa Sall et non les législatives. Bamba Fall a aussi révélé que ses camarades de partis ne sont pas venus le voir en prison alors que Karim Wade a appelé sa femme et lui a envoyé une somme d’argent «symbolique».

Par Cheikh Ndong

Quel est l’objet de votre visite dans les locaux du groupe Dmédia ? «Je suis juste venu vous rendre une visite de courtoisie, parce que comme vous le savez, le groupe Dmedia est né, grandi et émergé de la Médina. Les Médinois étaient habitués à voir ce groupe et ses employés dans leur cité. Les employés du groupe étaient trèsfamiliers aux populations de Médina. En prison, j’ai eu l’information comme quoi vous aviez déménagé sur la Vdn. C’est pourquoi je suis venu vous voir parce que la plupart des employés du groupe sont des amis, des parents… Ils étaient comme des administrés de ma commune. C’est une occasion pour moi de venir féliciter Bougane Guèye Dany et l’ensemble de son personnel. Je voudrais ici les remercier de leur soutien manifesté à mon égard. Je profite de l’occasion aussi pour remercier le patron du groupe Dmedia, qui est un citoyen modèle. Il y a beaucoup de Sénégalais qui brasse des milliards, mais qui préfèrent investir à l’étranger. Bougane fait partie de ces Sénégalais qui ont choisi d’investir dansl’économie du pays afin d’aider les jeunes à décrocher un emploi. Quelle est aujourd’hui votre posture par rapport aux lé- gislatives ? Je préfèrerais ne pas parler de législativestant que Khalifa Sall est en détention. D’abord c’est quoi un député ? Les députés ne sont pas mieux lotis que nous. Actuellement, ma seule préoccupation demeure la libération de Khalifa Sall. Est-ce que vous avez bon espoir que la Chambre d’ac- cusation va délibérer en fa- veur du Maire de Dakar ? Je suis fort pessimiste à ce sujet pour vous dire la vérité. Quand j’ai appris que l’État a constitué des avocats, je me suis dit que cela frise l’anormalité. Vous sa- vez que les collectivités locales s’administrent librement. En ce qui concerne la caisse d’avance, il faut préciser que ce n’est pas l’argent de l’État, mais l’argent de la commune. Donc je ne vois pasla raison pour laquelle l’État doit prendre des avocats. Et si l’État va jusqu’à ce point, c’est qu’il veut davantage corser ce dossier. Maisles Sénégalaisfont bien de ne pas croire à ce qu’ils disent, parce que Khalifa est réellement innocent. Moi qui vous parle, je suis adjoint au Maire chargé des Affaires so- ciales et de la santé. C’est moi qui ai arbitré les réunions de la Santé et de l’action sociale. J’ai vu des ministres à la télévision brandir des documents pour dire que c’était prévu dansle budget. Cette année, c’est 800 millions Cfa, et ce n’est que prévisionnel, maisles années passées, le fonds social s’élevait à 600 millions Cfa, dont 200 millions destinés aux aides de la fête de Pâques, ce qui équivaut à 5000 mandats multipliés par 40.000 Cfa. Ce qui fait bien 200 millions Cfa. Pour les fêtes de Tabaski, on avait au minimum 10.000 mandats multipliés par 40.000 Cfa. Ce qui revient à 400.000 millions Cfa. Et vous avez les 600 mil- lions épuisés. Quand Khalifa Sall est arrivé, on avait plafonné les secours à 40.000 Cfa. En matière de santé, les secours sont plafonnés à 250.000 Cfa. Si une évacuation à l’étranger était prévue, pour une facture qui risquait de dépasser les 250.000 Cfa, c’est Khalifa qui puisait de sa caisse, et des au- torités de ce pays savent ce que je dis, qu’elles soient de mon parti ou d’autres partis. J’aurai l’opportunité d’exhiber toutes ces preuves à l’occasion d’une prochaine conférence de presse. On vous a entendu dire, à votre sortie de prison, que vous vous étiez trompé sur Karim Wade. Qu’est-ce qui explique ce revirement ? Karim Wade nous était présenté comme une personne inhumaine qui n’a pas de valeurs et qui était là uniquement pour profiter de nos biens. Je l’ai combattu partout.J’étais avec Barthélemy Dias à Saint Lazare pour le huer. J’étais aussi à la Mosquée Omarienne avec mes jeunes pour le huer. Je me suis battu contre son père et la coalition Sopi… Mais quand je me suis retrouvé en prison, mes camarades de partis ne sont même pas venus me voir, ni n’ont rendu visite à ma famille. Mais lorsque je vois qu’un Karim que j’ai combattu, cherche le numéro de téléphone de ma femme pour compatir à ma cause et me dédicacer un geste sym- bolique, même si cela n’atteint pas les 500.000 Cfa, c’est de la dépense hebdomadaire en moins de ma poche pour mon foyer. Et même si c’était 10 francs Cfa venant de Karim Wade, c’est un geste qui m’est allé droit au cœur. Il y avait des gens qui pouvaient en faire au- tant et qui ne l’ont pas fait, vous comprenez…

REPRESENTÉ PAR LE SÉNÉGAL – L’enseignement supérieur et la recherche du Sénégal acclamé à Djibouti

 

 Par Ahmed Bachir NDIAYE

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, est invité à Djibouti pour assister à la conférence sur les politiques et la recherche dans l’enseignement supérieur. La rencontre se tient du 2 au 4 mai. Le Ministre à prononcer un discours hier lors de la cérémonie d’ouverture, devant le Président djiboutien. C’était l’occasion pour le Pr Mary Teuw Niane, de présenter expérience que traverse le Sénégal en terme de politique de réforme sur l’enseignement supérieur. «Au Sénégal, l’enseignement supérieur et la recherche sont en réforme. Cette réforme est le fruit de la volonté politique du président de la République et du gouvernement, de la construction d’un consensus national autour de ses priorités. Elle a comme point de départ la vision suivante du Président de la République : faire de l’enseignement supérieur et de la recherche un levier du développement économique, social et culturel du Sénégal. Elle est le produit d’un processus participatif et inclusif», a-t-il déclaré devant l’assistance. Et d’attester que «Le développement de l’enseignement supérieur et de la recherche est une condition essentielle du progrès économique, social et culturel des pays. En effet, il est unanimement reconnu l’importance de l’éducation en générale et de l’enseignement supérieur et de la recherche en particulier à l’heure où le monde vit dans la société du savoir et l’économie de la connaissance». Et le Ministre s’est dit satisfait de l’état d’exécution des réformes sur l’enseignement supérieur au Sénégal. «L’évaluation de la mise en œuvre de la réforme est très satisfaisante car sur les actions prévues sur dix ans en trois années d’exécution 50% sont entièrement réalisées, 47% en cours de réalisation et seulement 3% ne sont pas encore entamées (…) Si le financement semble être le talon d’Achille de toute réforme de l’enseignement supérieur, je suis très heureux de vous dire que la réforme sénégalaise portée par un financement public sans précédent a reçu un accueil très favorable des partenaires techniques et financiers, des banques privées et des sociétés d’assurances, le fonds souverain du Sénégal et bénéficie de projets en partenariat public privé. Au total le budget de fonctionnement du ministère de l’Enseignement supérieur a presque doublé en cinq ans et sur la    même période 2013 à 2017, les investissements  représentent 2,5 fois ce que le Sénégal a investi dans le secteur en cinquante deux ans de 1960 à 2012 soit un montant 440 milliards de Fcfa», a-t-il déclaré. Dans l’après midi Mary Teuw Niane a fait la présentation de la politique des tic du Sénégal  dans l’enseignement supérieur. Exercice durant lequel il a su faire susciter l’intérêt des participants, qui ont apprécié les innovations du Sénégal sur le secteur de l’enseignement supérieur.

 

 

 

 

 

 

Macky Puissance 3

Le responsable de l’Apr Seydou Abdou Sy a procédé, le weekend dernier, à l’inauguration du siège de son mouvement «Entente cordiale pour la réélection de Macky Sall» dans la commune de Djidah Thiaroye Kao, mais également à la séance de dédicaces de son livre intitulé «Macky Puissance 3». Un livre qui, selon lui, est une compilation des projets et des réalisations du chef de l’Etat de 2012 à 2016. Avec ce livre, l’auteur dit répondre à l’invitation du chef de l’Etat de vulgariser les  travaux du Pse.

L’Apr de Macky explose – Thierno Alassane Sall démissione du gouvernement de Boun Abdallah

Thierno Alassane Sall a démissionné de son poste de ministre de l’Énergie, a informé la Rfm, ce matin.

Quelques minutes plus tard, la Rédaction de Actunet a reçu un communiqué du gouvernement annonçant que “par décret n° 2017-696 du 2 mai 2017, le Président de la République a mis fin aux fonctions de Monsieur Thierno Alassane Sall, Ministre de l’Énergie et du Développement des Énergies renouvelables”.

Des sources d’Actunet.sn expliquent qu’en réalité Thierno Alassane Sall a pris les devants en annonçant sa démission avant même que le décret ne soit rendu public.

L’on explique qu’il a eu des divergences avec le Président de la République et le Premier ministre sur la gestion des blocs de pétrole. On l’accuse d’avoir voulu tout donner à Cosmos alors que le chef du gouvernement et le chef de l’Etat voulaient confier la gestion de ces blocs à plusieurs multinationales.

Toujours est-il que leurs divergences ont atteint leur summum ce matin au Palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor et le Président a vu rouge avant de lui signifier, devant le Premier ministre, qu’il le démet de ses fonctions. Le décret devait suivre.

Le Président s’est ensuite rendu à l’aéroport pour embarquer à bord de la “Pointe Sarène”, l’avion de commandement, en direction d’Afrique du Sud où il participe au Forum économique mondial de Durban.

Thierno Alassane Sall a-t-il démissionné ou a-t-il été démissionné ? En tout cas, désormais Mahammad Boun Abdallah Dionne, Premier Ministre, assure les fonctions de Ministre de l’Énergie et du Développement des Énergies renouvelables, cumulativement avec ses fonctions. Il a été nommé par décret n° 2017- 697 du 2 mai 2017.

SENEGAL HANDLING SERVICE S’ENFONCE DANS LA CRISE – Le trafic aérien menacé à Léopold Sedar Senghor

 

Sous peu, le trafic aérien va être sérieusement perturbé à l’aéroport Léopold Sedar Senghor. Les travailleurs de la Senegal Handling Service vont en décider ainsi parce que leur Direction mène, selon eux, une «politique de gestion catastrophique».

 

Par F. NZALE

 

La crise s’est réellement installée au sein de Senegal Handling service (Shs). Et dans les jours qui viennent, si la situation ne se décante pas, c’est le transport aérien qui risque d’être perturbé. C’est du moins ce qu’assurent les travailleurs de la société. Ces derniers sont en colère contre la direction qui, selon eux, tentent de les flouer dans une affaire de gros sous.

En tant qu’actionnaires à 10%, ces travailleurs s’offusquent du fait que la direction générale leur oppose un refus systématique de pouvoir vérifier les comptes. A Shs, on dénonce une «gestion nébuleuse» et des virements de milliards suspects de la «Senegal Handling Service» vers la société Gabay logée au Panama, citée dans les «Panama Papers». Précisément au moment où la société déclare des pertes de 67 millions et 40 millions pour les exercices 2011 et 2015.

Pour dissiper la tension qui monte, la Direction générale a tenu le samedi 29 Avril une «assemblée générale» dite «d’explication». Il s’agissait, pour Abdoulaye Camara Diop à qui la mission a été confiée, de faire face aux travailleurs et de porter la voix de ses supérieurs. Mais il n’a pas pu s’adresser à son auditoire. Il a été interdit de parole, a été hué et a échappé de peu au lynchage. Abdoulaye Camara Diop, objet d’une plainte pour détournement de fonds sous la mention n°067 de la brigade spéciale de l’aéroport le 05 janvier 2017, est perçu comme l’«homme des sales besognes» de la direction générale de Shs. «A la direction générale, on veut faire du dilatoire ; on ne leur demande pas d’être évasifs. Tout ce que nous voulons en tant qu’actionnaires, c’est qu’ils donnent la possibilité à nos mandataires d’accéder à la vérification des comptes de la société», renseignent les travailleurs.

Compte tenu de ce qui est dit, le Conseil du Gié de la Shs a porté plainte contre Mansour Samb, Ousmane Diop et les sieurs Aliou Mbodj et Abdoulaye Camara Diop, pour «faux et usage de faux, complicité de faux et usage de faux, usurpation de titre, abus de confiance, abus de biens sociaux et complicité d’abus de biens sociaux et publication de faux bilans».

A rappeler que Shs a été créée sur les cendres de la défunte Air Afrique et avec les travailleurs, regroupés dans un Gié, qui y sont actionnaires à hauteur de 10%.

 

 

 

 

 

Sa demande de liberté provisoire refusée – Khalifa Sall reste en prison

 

Le délibéré de la demande de liberté provisoire de Khalifa Sall et l’annulation de la procédure pour non-respect des droits de la défense plaidés par ses avocats, vient de tomber. La Chambre d’accusation de la Cour d’Appel du Tribunal de Dakar a confirmé le refus du doyen des juges en charge du dossier d’accorder la liberté provisoire à Khalifa Sall et Cie. Le socialiste reste donc, en prison jusqu’à son éventuel jugement.

Poursuivis pour faux et usage de faux en écritures de commerce,  détournement de deniers publics et blanchiment de capitaux, Khalifa Sall et ses camarades d’infortune sont en prison depuis le 7 mars dernier, dans le cadre de la Caisse d’avance de la ville de Dakar. Il faut dire que si les avocats de la défense notamment, Me Ciré Clédor Ly, coordonnateur du pool composé de 47 robes noires sont montés au créneau pour fustiger la constitution de la partie civile de l’Etat du Sénégal, le procureur de la République veut que le procès se tienne bien avant les Législatives prochaines.

 

Moustapha Diakhaté à Aliou Sall «S’il y a complot, qu’il s’en prend à son grand-frère»

 

Moustapha Diakhaté, s’en est pris à Aliou Sall, maire de Guédiawaye qui s’est rétracté suite à la décision prise par Macky Sall de l’exclure des listes pour les législatives, non sans défendre qu’il y a un complot contre lui, orchestré depuis le palais. Ce qui a fait réagir le président du groupe parlementaire de Bennoo Bokk Yaakaar qui lui a fait savoir qu’il ne devra s’en prendre qu’à son grand-frère.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

L’épisode Aliou Sall est loin de connaitre son épilogue. Le petit-frère du Président Macky Sall ayant récemment fait savoir qu’il n’accepte plus la décision de ce dernier de l’exclure des listes des législatives. Allant plus loin, il a même affirmé qu’il y a un complot orchestré contre lui depuis le palais présidentiel. Ce qui a fait réagir Moustapha Diakhaté. «S’il parle de complot, il ne doit s’en prendre qu’à son grand-frère et le pointer du doigt. Car, parler de complot, voudrait dire que c’est son grand-frère qui a comploté contre lui», a dit M. Diakhaté.

Le président du groupe parlementaire Bennoo Bokk Yaakaar d’aller plus loin en clamant ceci : «Il doit savoir raison garder. Et, je dis que Macky Sall nous a un peu offensé en nous amenant son petit-frère, parce qu’au moment où des gens menaient le combat contre la liquidation de son grand-frère, personne ne connaissait Aliou Sall. Au moment où les gens se battaient pour faire de son grand-frère Président de la République, personne ne connaissait Aliou Sall.»

Sans sourciller, il monte au créneau en demandant à Macky Sall, président de l’Alliance pour la République (Apr) d’exclure son petit-frère, si jamais il s’aventure à déposer une liste parallèle. Non sans inviter le maire de Guédiawaye à descendre de son piédestal.

Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Abdou Khafor Touré

Après avoir tiré un bilan satisfaisant des inscriptions sur les listes électorales avec un enrôlement de près de 50.000 inscrits dans la commune de Wakhinane Nimzatt, le directeur technique des opérations du Fongip, Abdou Khafor Touré et ses militants se sont retrouvés pour dégager une nouvelle feuille de route en perspective des élections législatives du 30 juillet prochain. Pour donner au Président Sall une majorité confortable, l’ancien libéral mise sur la mobilisation, la sensibilisation et l’identification des électeurs. Pour ce faire, Khafor Touré compte mettre en place, dès cette semaine, un réseau de 250 volontaires qui vont sillonner les quartiers de Wakhinane Nimzatt en vue de massifier l’électorat. En ce qui concerne les investitures, Khafor Touré indique qu’il n’est pas intéressé par les batailles de positionnement et s’en tient à la décision en dernier ressort du chef de l’Etat

 

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention