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Dethié Fall Rewmi «Macky Sall est Prix Nobel des promesses non tenues et des espoirs déçus»

ÀFatick où habite le président de la République, les jeunes ont accueilli le vice-président de Rewmi en montrant leur désolation et leur désespoir du fait de ce qu’ils appellent les «multiples promesses que Macky Sall leur avait faites» et qui, «depuis cinq ans maintenant, n’ont pas connu de réalisations, surtout concernant l’emploi. Et pourtant nous sommes bel et bien dans le département de Fatick où habite le Président Macky Sall et où il a été Maire dans la commune». «Donc, il est censé comprendre mieux que quiconque la situation désastreuse du département. Devant les populations et la presse, le vice-président lui a dé- cerné le Prix Nobel des Promesses non tenues et des espoirs déçus», estime M. Fall. À Palmarin, la délégation a reçu un accueil chaleureux des populations «venues témoigner leur engagement aux côtés du président Idrissa Seck». «Le désarroi est le sentiment le plus partagé. La pêche qui constitue l’activité principale des habitants de la zone, dé- gringole de jour en jour et le tourisme est dans une morosité sans précédent, faute d’assistance, et pourtant Palmarin était jadis un pôle touristique très attractif». À Samba Dia, Déthié Fall a eu les mêmes mots. «Ici, l’élevage, source de revenu des populations, n’est ni viabilisé, ni accompagné afin de permettre aux populations de subvenir à leurs besoins. C’est le même constat à Fimla où les femmes n’ont pas accès aux financements leur permettant d’auto promouvoir leurs activités économiques», affiche-t-il. Ce dernier a aussi constaté qu’à Diakhao, «les populations réclament un plateau médical plus conforme avec l’évolution démographique de la commune. La délégation a également visité «en profondeur la commune de Diarrere. Ainsi, de Ndoundokh à Bikole en passant par Sobeme et Fayil, les populations sont sans assistance», fus- tige-t-il. «Ces populations peinent même à avoir le strict minimum qui est l’électricité, car dans les 23 villages qui composent la commune, seuls trois sont électrifiés au moment où le gouvernement nous chante l’émergence à longueur de jour- née. Grande a été la surprise de la dé- légation de découvrir que les femmes de Sobeme parcourent des kilomètres, le plus souvent sous une forte chaleur pour se faire moudre le mil, faute de moulins à mil dans le village», dénonce Fall.

Macky menace les «perturbateurs» au sein de Benno bokk yakaar

Le Président Macky Sall a agité la menace contre ceux qui seraient tentés de dresser des listes parallèles au sein de la coalition Benno bokk yakaar.

Le Président Macky Sall a sonné la fin de la récréation, prévenant qu’il n’y aura aucune excuse à l’endroit des perturbateurs. «Nous ne tolérerons aucune liste dissidente», a-t-il averti, estimant que tous lesleaders de sa coalition doivent comprendre les enjeux des lé- gislatives «qui sont différents de ceux des élections locales où plusieurs listes parallèles tolérées avaient vu le jour». Macky Sall appelle ses troupes à l’«unité» nécessaire à la coalition. Dans ce sens, Moustapha Niasse qui a rassuré que la majorité travaille pour la réussite des prochaines élections législatives, indique que la tête de liste n’est pas une priorité pour Benno bokk yakaar. «Ceux qui dirigent la coalition sont en train de réfléchir sur la question», botte-t-il en touche face aux journalistes. En temps opportun, «Benno traitera cette question et réglera le problème. Une tête de liste sera désignée. La question n’a pas du tout été évoquée parce qu’elle n’est pas une priorité pour Benno bokk yakaar ; ce n’était pas à l’ordre du jour. En plus, rien n’urge». Les leaders de partis qui étaient à la rencontre de samedi ont mis l’accent sur «la méthode, l’organisation et l’unité». Il faudrait donc attendre un moment pour connaître le nom qui va diriger la liste de la majorité présidentielle. Macky Sall brocarde son opposition Sur un autre plan, le Président Macky Sall a balayé du revers de la main les accusations contre son régime faisant état d’une justice à deux vitesses. Pour le chef de l’État, ces opposants sont dans des fanfaronnades «qui ne sauraient dévier la mouvance présidentielle de sa trajectoire». Selon lui, «son gouvernement n’a rien à se reprocher» parce que «l’indépendance de la magistrature au Sénégal n’est pas une chimère». Macky Sall qui écarte toute instrumentalisation de la justice pour son compte souligne qu’«il est facile, lorsqu’on se situe dans une mau- vaise passe, d’accuser le Prési- dent de la République ou le gouvernement de faire de l’in- gérence dans le fonctionnement de la justice». «Nous n’avons rien à nousreprocher par rapport au fonctionnement de la justice», a martelé Macky Sall, notant que «l’opposition évite actuel- lement le débatsur le bilan pour ne parler que de dictature qui n’existe pas». «On ne verra jamais un seul détenu d’opinion dans ce pays. Depuis que nous sommes au pouvoir, aucun jour- naliste n’a été arrêté et mis en prison pour un article de presse ou un délit d’opinion», a-t-il juré.

Du jeu des coalitions pour les législatives : A la recherche des couplés gagnants

Actuellement, tous les regards sont braqués sur les législatives du 30 juillet 2017. Le pouvoir compte mettre tous les atouts de son côté pour conserver la majorité à l’Assemblée nationale. De son côté, l’opposition veut renverser la tendance pour imposer la cohabitation à Macky Sall. Face à une telle situation, le jeu des coalitions s’annonce déjà palpitant et chacun est à la recherche des couplés gagnants.

Par Abdoulaye Mbow (actunet.sn)

Depuis 1960, année de notre accession à la magistrature suprême, les régimes qui se sont succédés ont toujours remporté les élections législatives. Ce qui leur a tout le temps permis d’être majoritaires à l’Hémicycle. En effet, jusqu’à présent, les Sénégalais n’ont jamais jugé nécessaire de ne pas conforter le Président élu en ne lui donnant pas une majorité au niveau de la Représentation nationale. Senghor, Diouf et Wade, suivant leurs mandats successifs à la tête du pays ont eu plus de députés que l’opposition. C’est le cas aussi sous Macky Sall. Mais, jusqu’à quand ? Cette question occupe les cercles populaires et politiques car, beaucoup de considérations sont prises en compte. Le mandat présidentiel s’achève en 2019 et les élections législatives se tiennent en 2017, plus précisément le 30 juillet prochain.

Et, compte tenu de plusieurs facteurs liés à des dossiers comme le ‘’wax waxet’’ de l’actuel locataire du palais, les emprisonnements d’opposants qui font légion depuis 2012, le comportement assez excessif de quelques pontes du régime, la gestion des rapports de corps de contrôle et de vérification, le pétrole et le gaz…, Macky Sall est sous haute pression. Et pour cause, l’opposition marche, discute, propose la meilleure alternative pour espérer lui imposer la cohabitation. Et, depuis l’emprisonnement de Khalifa Sall, maire de Dakar, au niveau de la capitale, les Dakarois de manière générale, croient savoir qu’il y a une odeur nauséabonde de politique dans cette affaire.

Autant de raisons pour que des leaders de partis politiques se retrouvent autour de cadres pour jouer leur partition aux législatives en se fixant l’objectif de les remporter. D’ailleurs, c’est la raison principale qui a poussé les lieutenants de l’édile de Dakar, Aïssata Tall Sall, Moussa Tine, Cheikh Bamba Dièye, Moussa Sy, les maires de Taxawu Dakar et bien d’autres, à mettre en branle la coalition ‘’Initiative 2017’’. A la recherche des couplés gagnants, cette plateforme pourrait bien s’allier avec le Parti démocratique sénégalais (Pds), Rewmi, Bokk Gis-Gis, Aj-Pads ou encore le Grand parti. De l’autre côté, Abdoul Mbaye de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) discute avec des ténors de l’opposition et de la société civile pour lancer sa liste. C’est également le cas de la coalition Samm Li Nu Bokk qui regroupe Madièye Mbodj de Yoonu Askan Wi (Mouvement pour l’autonomie populaire), Diallo Diop du Rassemblement national démocratique (Rnd), Ibrahima Sall de Taxaw Teem, Moussa Touré du parti Cet, entre autres qui veulent lancer des couplés gagnants.

Tout un arsenal pour pouvoir battre Bennoo Bokk Yaakaar qui traverse des moments de forts troubles. Et pour cause, il y a des frustrations toutes azimuts au point de pousser nombre d’alliés du Président Macky Sall à clamer qu’ils mettront en place des listes parallèles. Malgré les menaces de leur mentor qui indique qu’il va sévir si tel est le cas, il faut dire que la coalition présidentielle a perdu sa dynamique de 2012. Aujourd’hui que le gâteau est coupé et partagé, ils sont nombreux à savoir qu’ils ne recevront jamais une petite part. Ce qui a conduit quelques-uns à défendre qu’ils n’accepteront pas le diktat du Bennoo des ‘’5’’ faisant allusion à l’Alliance pour la République (Apr), le Parti socialiste (Ps), l’Alliance des forces de progrès (Afp), la Ligue démocratique (Ld) et le Parti de l’indépendance et du travail (Pit) dont certains sont fortement secoués par des départs. De leurs côtés, ces frustrés sont également en train de chercher les couplés gagnants pour espérer siéger dans la treizième législature. Mais, qui va gagner cette course qui joue sur un terrain hippique-politique très glissant et trop risqué ?

 

 

Dr Alboury NDIAYE « LE PLAN SÉNÉGAL ÉMERGENT EST UN GOULOT D’ÉTRANGLEMENT POUR LE DÉCOLLAGE ÉCONOMIQUE DE NOTRE PAYS.

CE PLAN EST CREUX, FOLKLORIQUE ET DÉCONNECTÉ DES RÉALITÉS ÉCONOMIQUES ET SOCIALES » 

 

Par Dr Alboury NDIAYE, Président du Mouvement Citoyen Nouvelle Vision pour le Sénégal

 

 

 

Dans le cadre du financement de son développement, le Sénégal avait sollicité l’appui du Groupe Consultatif de Paris, pour mobiliser les ressources financières nécessaires à la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent. D’emblée, nous pouvons saluer l’idée de baliser et de planifier les voies d’un développement économique pour notre pays, mais surtout de condenser le tout dans un document stratégique ; même si je déplore toujours le fait que ce travail ait été confié à un cabinet étranger au grand mépris de l’expertise locale. Ce qui est le plus déplorable c’est que ce Plan qui était censé permettre le décollage de notre économie est devenu un goulot d’étranglement pour notre pays. Les sénégalais ont faim et soif, ne peuvent plus envoyer leurs enfants à l’école, ne peuvent plus se soigner et vivre en sécurité dans nos quartiers.

En effet, le Sénégal à l’instar de plusieurs pays africains, a fait de l’émergence son cheval de Troie, sans prendre l’impérieuse précaution de déterminer, avec rigueur et précision, les politiques et instruments à mobiliser pour atteindre l’objectif d’un développement porteur de richesses et de valeur ajoutée et surtout génératrice d’emplois pour notre jeunesse. D’un point de vue historique, le terme émergence est un concept exogène qui a été proposé aux pays africains par les pays occidentaux et accepté comme tel. Ce terme est né au début des années 1980 dans la terminologie financière au moment où les marchés de la triade recherchaient de nouveaux terrains de prospection pour rentabiliser leurs investissements, on a tantôt parlé de marchés émergents. Au départ donc, ce terme d’émergence ne reflète pas une pensée messianique de l’épanouissement ou du bien-être des peuples. Puis, les institutions financières issues des accords de Bretton Woods ont promu ce terme et l’émergence est devenue un stade entre le sous-développement et le développement ; présentée comme un synonyme de rattrapage économique. Ce qui implique donc un rapport à d’autres pays, occidentaux par exemple, qui seraient les meilleurs dont les pays africains devraient être les bons élèves. Nos économies n’ont pas besoin d’une émergence telle que chantée dans notre pays ; nous avons besoin d’une transformation de notre paradigme de développement et d’un redressement de notre tissu productif. Plus que jamais l’Etat du Sénégal crée de la dépense publique à travers la multiplication des agences de l’Etat dont l’efficacité reste à prouver : ces agences servent uniquement à caser de la clientèle politique. Récemment une équipe du FMI, de passage à Dakar a demandé à l’Etat du Sénégal une réorientation des dépenses vers des secteurs plus utiles à notre développement. Le FMI a souligné également que « la dette publique à la fin décembre 2016 est plus élevée que prévue, en raison notamment du dégonflement des soldes créditeurs des comptes de dépôts et des avances que le gouvernement apporte au groupe La Poste depuis plusieurs années ». L’instance monétaire internationale attire aussi l’attention des autorités sénégalaises sur la réduction du nombre d’agences publiques, et de consacrer les dépenses publiques prioritairement à l’investissement public, y compris en capital humain, et à l’inclusion sociale pour l’atteinte des objectifs de développement. Par inclusion sociale il faudrait entendre inclusion sociale de toutes les populations sénégalaises et non inclusion sociale uniquement des militants et des responsables du parti du Président Macky SALL. C’est le cas avec les Bourses de Sécurité Familiale dont la distribution est très politisée. Au demeurant, à défaut d’une traduction concrète des promesses de campagne, on risque de perdre encore 7 ans et de l’énergie ou d’attendre un changement de régime pour voir enfin la matérialisation des promesses tenues par l’actuel Président de la République. Parmi ses nombreuses promesses il y avait la création de 500.000 emplois pour les jeunes, mais aucun plan sérieux n’a été mis en place pour doper la création de ces fameux 500.000 emplois ; 3 ans après on est à des années-lumière du compte en effet. En Côte-d’Ivoire, par exemple le Président Alassane Ouattara a planifié la création de 1 Million d’emplois en 5 ans soit 200.000 emplois par année ; il a mis en place des mécanismes efficients qui lui ont permis de tenir sa promesse électorale. Au Sénégal on met toujours la charrue avant les bœufs et il n’y a jamais la bonne personne à la place qu’il faut : pourtant le pays regorge de ressources humaines de qualité qui sont systématiquement éloignées des sphères de décision par que ne faisant pas de la politique.

L’objectif du PSE est de faire passer la croissance à 7% par an, contre 3,3% en moyenne depuis 2006. C’est une véritable hérésie de penser que la simple augmentation du taux de croissance du PIB à 7% par an suffira à rendre le Sénégal émergent (il nous faut en effet, une croissance à deux chiffres pour nous développer). Cependant, le problème avec les indicateurs économiques de mesure du développement, c’est que les économistes et les prévisionnistes en sont satisfaits mais la ménagère qui va au marché le matin ne voit aucun changement dans son pouvoir d’achat.

De plus, sur le plan strictement macroéconomique, il est urgent d’améliorer fortement la compétitivité et la productivité de nos industries, et de transformer en profondeur la structure même de l’économie en produisant et en exportant des biens manufacturés et des services à forte valeur ajoutée. Tous ces facteurs d’émergence n’ont pas été quantifiés avec des indicateurs clairs de suivi-évaluation. En effet, les politiques publiques n’ont de sens et de pertinence que lorsqu’elles sont suivies et évaluées avec des critères d’efficience et de performance.

En jetant un regard rétrospectif et prospectif, j’émets de sérieuses réserves sur la faisabilité du Plan Sénégal Emergent, sur les ressources humaines en charge de sa mise en œuvre et sur sa véritable capacité à développer le Sénégal. En effet, que fait-on de :

  • L’horizon 2035 qui me semble bien trop loin
  • La Gestion axée sur les résultats comme le suggère la réforme des finances publiques sous la houlette de l’UEMOA, dans une double démarche de loi-programme pour l’élaboration et le vote de son budget et d’une déconcentration progressive de l’ordonnancement des dépenses publiques au profit des ministères techniques et des entités étatiques.
  • La Bonne Gouvernance des ressources publiques et la territorialisation des politiques publiques: à ce titre sous le magistère du Président Macky SALL des hommes politiques à la tête de sociétés nationales détournent de l’argent public sans être inquiétés parce qu’ils sont proches du pouvoir ou parce qu’ils ont rejoint la mouvance présidentielle. Où est la rupture ?????
  • Du FONGIP qui est encore une fois une excellente trouvaille, mais faute d’une trop grande politisation, ce fonds ne donne pas les résultats escomptés. Les financements se font en général sur des bases partisanes voire politiques. Nous avons vraiment du mal à mesurer la valeur ajoutée de cette agence et ses réalisations concrètes. Combien de financements ont été accordés pour combien de projets ? et quels sont les résultats obtenus ?
  • De l’ANPEJ qui était censée accompagner les jeunes vers l’emploi durable mais en réalité il n’en est rien. Depuis sa création, le chômage connait une hausse frénétique, même si cette agence signe beaucoup de conventions de partenariat. Combien de jeunes ont été insérés réellement? L’ancienne ANEJ était bien plus efficace.
  • Du financement de l’entreprenariat des femmes entre folklore et gadgétisation. C’est bien d’accorder des millions de nos pauvres francs à tout va à une couche vulnérable comme les femmes en faisant venir des chanteuses et des laudateurs, mais c’est encore mieux de les accompagner dans l’ingénierie de projets viables et bancables avec des modèles économiques pérennes. Sans la mise en place d’une véritable structure dédiée à l’accompagnement de l’idée-projet au démarrage et stabilisation de l’entreprise, l’entreprenariat des femmes se résumera juste à un concept vide.

En définitive, le développement économique et social doit tirer sa légitimité et sa substance dans une approche holistique des choses c’est-à-dire une véritable totalisation des ressources, des compétences et des énergies pour servir la cause commune d’un développement inclusif.

Ce qui freine l’émergence du Sénégal c’est la logique politicienne dans la gestion des affaires publiques, on s’attache trop à l’écume et non au creux de la vague dans ce qu’elle a de plus dynamique. Nos institutions, nos ministères sont désincarnés et inefficaces, car à côté de la minorité qui travaille et qui apporte de la valeur ajoutée, se dresse une majorité de médiocres. C’est une petite caste politique, familiale et parfois communautaire d’«illuminés » dont la production journalière en quantité de travail est inférieure ou égale à zéro.

Notre pays doit relever le défi du capital humain en rapport avec les prévisions de la Banque mondiale. Il faut créer selon la Banque mondiale 150 mille emplois chaque année au Sénégal pour pouvoir accompagner l’arrivée sur le marché du travail de jeunes sénégalais et sénégalaises.

Elu pour conduire le Sénégal vers le chemin du véritable développement économique et social, le Président Macky SALL peine véritablement à traduire ses engagements électoraux en actes concrets. L’ordre des priorités n’est pas le bon et il y a d’énormes problèmes et des lacunes dans la conduite des politiques : ERREUR DE CASTING ET DE MANAGEMENT ! A titre d’exemple, l’Etat du Sénégal a acheté à l’entreprise française ALSTOM un Train Express Régional à plus de 500 Milliards alors que notre pays n’a plus de machines de radiothérapie pour le traitement des malades du cancer. De plus dans certaines localités du pays, des femmes perdent la vie en la donnant parce que transportées sur des charrettes ; pourtant nous sommes en 2017 !

 

Dr Alboury NDIAYE

Président de Nouvelle Vision pour le Sénégal

alboury@hotmail.com

 

 

 

 

Jeunesse Ligue Démocratique

Au cours d’une rencontre de son Secrétariat exécutif national, le Mouvement démocratique des jeunes (Mdj) de la Ligue démocratique a marqué toute sa surprise et son regret, suite à la démission de Mamadou Ndoye de son poste de Secrétaire général du Parti. Tout de même, cette structure lui a rendu un hommage «mérité» «eu égard à son parcours et à sa contribution remarquable dans la vie du parti et les conquêtes démocratiques au Sénégal». Ces jeunes expliquent que dans ces moments «inédits» dans la vie du parti, le Secrétariat du Mdj appelle l’ensemble des militants de la Ld à la solidarité, à la responsabilité et à se mobiliser autour du Secrétaire général par intérim, Nicolas Ndiaye, après lui avoir adressé ses vives félicitations pour faire face aux défis multiples qui se posent à leur parti et au pays. Ils appellent aussi tous les camarades à s’atteler déjà à la mise en œuvre effective des orientations et conclusions du Bureau politique du 08 avril 2017.

Pape Mael Diop – IAM

PAPE MAËL DIOP-IAM Avant les manifestations culturelles de la journée d’intégration de son école, le Directeur général de l’Iam a, dans son discours d’ouverture, rappelé l’importance de l’unité du Continent pour faire face «aux moments difficiles et aux périodes d’incertitude que vive le monde». Selon un communiqué, le parrain Papa Maël Diop a, pour sa part, souligné l’honneur qui lui est fait d’associer son nom à ceux d’illustres fils du Sénégal et d’Afrique qui ont été choisis dans le passé pour être des parrains des manifestations de l’Iam comme Me Abdoulaye Wade, ancien Président de la République du Sénégal, Charles Konan Banny, ancien Gouverneur de la Bceao, Jerry Rawlings, ancien chef de l’État du Ghana, Dr Cheick Modibo Diarra, astrophysicien et ancien de la Nasa entre autres.

Train Express Régional

Le communiqué indique que le Comité de sélection, mis en mission par le Commissariat général de The Africa Road Builders, «a travaillé sur la base des rapports de mé- dias et d’experts des questions liées aux routes, aux transports et au développement durable». Il ajoute, que les rapports utilisés, «auxquels s’ajoute un sondage auprès de journalistes spécialistes des questions de développement, portent sur les cinq dernières années». Paul Kagamé a été choisi notamment pour l’ordre et la propreté qui caractérisent les routes de la capitale Kigali, selon le comité, soulignant que le Président Macky Sall a été choisi notamment pour des projets d’envergure comme le Ter (Train express régional). Il y a aussi le projet du nouveau pôle urbain de Diamniadio, «avec une autoroute dont la forme et le mode de gestion sont déjà cités en exemple». «avec le nouveau pôle urbain, le Ter qui doit circuler entre le centre-ville de Dakar et Diamniadio a tout son sens», estime le comité.

Macky et Kagamé “supers batisseurs”

Le Comité de sélection de The Africa Road Builders a décidé, récemment, de désigner les présidents Paul Kagamé (Rwanda) et Macky Sall (Sénégal) pour recevoir le Super Prix Grand Bâtisseur – Trophée Babacar Ndiaye, du nom de l’ancien président de la Banque africaine de développement (Bad, 1985-1995).a appris l’Aps, samedi. Cette décision a été prise par le Comité de sélection de The Africa Road Builders le 18 avril, après plusieurs mois de travaux, explique dans un communiqué le président du Comité de sélection Adama Wade, directeur de publication du Magazine Financial Afrik. Le Super Prix Grand Bâtisseur – Trophée Babacar Ndiaye sera remis lors de la prestigieuse cérémonie qui aura lieu à Ahmedabad (Inde), en marge des 52èmes Assemblées annuelles de la Banque Africaine de développement (Bad).

Macron veut être «le président des patriotes face à la menace nationaliste»

Selon les premières estimations de notre partenaire Ipsos, Emmanuel Macron est arrivé en tête du première tour de l’élection présidentielle française avec 23,29% des suffrages. Dans son discours, le candidat d’En marche ! a dit vouloir porter la voix de « l’espoir » et s’est projeté dans l’après-second tour.

Présidentielle française: entre joie et déception, l’ambiance dans les QG

Explosion de joie, déception et réflexion sur l’après-élection, telles étaient les réactions qui ont secoué les quartiers généraux des candidats après l’annonce des résultats définitifs des résultats du premier tour de la présidentielle, le 23 avril.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention