Report de Dortmund-Monaco après des explosions près du bus du Borussia
Le quart de finale aller de coupe d’Europe de football (Ligue des champions UEFA) entre le Borussia Dortmund et l’AS Monaco prévu ce mardi 11 avril 2017 a été reporté au lendemain suite à trois explosions près du bus du club allemand. Le défenseur espagnol Marc Bartra a été blessé au bras. Le bus de l’équipe de Dortmund était directement «visé», selon la police.
Terrorisme
Un ressortissant nigérian présumé terroriste a été alpagué par la Police du Point E. Le quidam était de passage dans notre pays en provenance de la Mauritanie.Il était un sergent recruteur pour le compte de la secte Boko Haram. L’homme qui était domicilié aux Parcelles assainies, était un ancien étudiant en informatique. Il est tombé dans les mailles des hommes du commissaire Daouda Bodian, à sa sortie de l’Ambassade de son payssise à Fann. Dansle même sillage de la lutte contre le terrorisme, deux marocains en provenance de la Syrie etsuspectés d’avoir desliens avec l’organisation Ei (état islamique), ont été également cravatés par la police de l’air et des frontières. Toutes ces personnes malintentionnées ont été déférées au parquet du procureur.
Karim apelle Idy
À la suite du coup de fil de Maître Abdoulaye Wade à Idrissa Seck, c’est au tour de Karim Wade de s’entretenir avec Idy qu’il a joint au téléphone hier. Les deux hommes qui ont échangé dans une ambiance «bon enfant» se sont rappelé les «bons souvenirs et les moments vécus ensemble avant 2000» pour arriver au pouvoir. Seck et Wade-fils, nous apprend-on, sont en phase dans la «nécessité de stopper les dérives du régime actuel». Ils sont ainsi tombés d’accord pour unifier leurs forces, «travailler ensemble pour de nouvelles perspectives». Dans un climat cordial, le leader de Rewmi et l’ex-ministre d’État ont, nous souffle-t-on, mesuré l’ampleur des enjeux et sont prêts pour se mobiliser et faire face «à l’injustice érigée en règle» par le régime actuel.
5 morts
Des pleurs et des désolations, c’est le spectacle qu’offrent les villages situés sur la Route nationale numéro 6 entre Goudomp et Yara. Un accident est survenu entre les villages de Djimassar et Anice. Le bilan est lourd. Il fait état dans les premières heures de cinq décès et de vingt deux blessés. Le véhicule utilisé est une sorte de camionnette transportant des bagages et des personnes qui quittaient le marché hebdomadaire de Goudomp pour celui de Yarang, encore plus près de la frontière avec la Guinée-Bissau. Comme si cela ne suffisait pas, un autre véhicule minicar qui faisait une course poursuite, s’est renversé à hauteur du village de Simbandi Birassou après avoir buté sur un ralentisseur. Le bilan fait état de cinq blessés dont trois dans un état grave. Actu24.
Mamadou Lamine Diallo
Dans sa dernière livraison de «Question économique», Mamadou Lamine Diallo déclare que la modification du Pib en 2014 relance le débat sur qui «mange» la croissance et la place de l’endettement. Dans son texte, il soutient que «si les 3000 milliardssupplémentaires découverts par Amadou Bâ dans la production de richesse en 2014 revenaient aux pauvres de ce pays, le Président Macky Sall serait capable de porter la bourse familiale à 1.000.000 Cfa par an au lieu de 100.000 Cfa pour les 300.000 familles. Car, ceci ne représenterait que 10% de l’accroissement de la richesse découvert par l’équipe au pouvoir». Or, Macky Sall ne peut pas le faire. La raison, selon lui, est que c’est parl’endettementsurles marchésfinanciers de l’Uemoa qu’il finance les bourses familiales. Le leader de Tekki souligne que l’endettement n’a de sens économique que s’il est maîtrisé ets’ilsert à augmenter les capacités productives du pays. Or, l’endettement de Macky, c’est pour les firmes étrangères et ses affidés, Holding Amar, Bictogo, Iris et la nouvelle aristocratie de Benno. À l’en croire, ce sont eux qui «mangent» sa croissance.
Mame Marième Babou fixée ce matin
Après un premier renvoi, l’affaire Karim Sène contre Mame Marème Babou sera appelée aujourd’hui à la barre du Tribunal de grande instance de Fatick. La lionne de la Cojer est poursuivie pour destruction de biens appartenant à autrui, troubles à l’ordre public, violence et voie de fait. Elle est accusée par le maire apériste de Fimela, et non moins conseiller économique, social et environnemental, d’avoir perturbé une manifestation politique qui visait à booster le taux d’inscription sur les listes électorales. La Dg de l’Agence de la case des tous petits, Thérèse Faye Diouf, qui est aussi la responsable nationale de la Cojer, de même que plusieurs militants venus prendre part à cette manifestation, y avaient été chassés à coups de pierres. Ce rassemblement politique s’est alors terminé, contre toute attente, en queue de poisson. Des blessés et d’importants dégâts matériels avaient été dénombrés le jour des faits. L’édile de la commune de Fimela, noire de colère, ne s’est pas fait prier après ces incidents, pour ester en justice l’instigatrice présumée de ces échauffourés. C’est sur ces entrefaites que Mame Marème Babou a été cueillie par la gendarmerie et déférée au parquet de Fatick. Entendue par le maître des poursuites, elle a été remise en liberté en attendant que cette affaire soit tirée au clair ce 12 avril au niveau de l’ex Tribunal régional de Fatick. Mais Mame Marème Babou, droite dans ses bottes, n’y est pas allée par quatre chemins pour pointer un doigt accusateur en direction de sa rivale, la patronne des jeunesses républicaines, Thérèse Faye Diouf. À l’en croire, c’est cette dernière dont elle conteste le leadership qui est derrière la plainte du maire de Fimela pour tout simplement l’intimider.
Wade maitre de jeu de l’opposition
Wade pro Y’en a marre, Karim soutien actif du mouvement citoyen qui a pesé de tout son poids dans la longue campagne de contestation qui a abouti à la chute du régime libéral. Décidément, en politique, au Sénégal plus qu’ailleurs, les montagnes se rencontrent. Elles sont faites pour se rencontrer. L’actualité ré- cente chez nous illustre éloquemment un tel état des choses. Si Me Wade a jugé nécessaire d’appeler son ex «jardinier de ses rêves», c’est qu’il est conscient que la somme de leurs forces peut faire mal au régime dirigé par un membre de la «famille» qui est devenu un «ennemi commun». Idy «l’aîné» qui a pris ses distances d’avec son «frère» depuis belle lurette, n’a pas du tout craché sur l’offre du «père» qui continue d’étaler toute sa classe de bête politique au crépuscule de sa vie. C’est lui qui avait convié Gakou, Decroix, Oumar Sarr et autres à La Mecque dans la perspective d’une coalition contre Macky. Khalifa Sall et ses partisans devraient, pour des raisons évidentes, rejoindre cet axe, seule alternative sérieuse capable de «créer des ennuis» aux gouvernants actuels.
Ness après sa défaite contre Sathiès «Je souffre»
Le champion de Lansar est très pris au dépourvu après son revers face à Sa Thiès. Une défaite qu’il n’arrive toujours pas à digérer. Battu par Sa Thiès, il n’a pas fermé l’œil de la nuit tellement il a eu mal. Une défaite de trop qui ne le fait pas progresser. Pour lui, il y a beaucoup de choses qui se sont passé, mais il préfère les taire. Pour l’heure, Ness rumine seul dans son coin sa défaite, même s’il a consenti à nous accorder une interview chez lui. Par A
Comment vous vous sentez après votre défaite face à Sa Thiès ? Très mal. Je me sens très mal et fort surpris. Je ne m’attendais pas à une telle chute, mais voici quoi, je m’en remets au Bon Dieu. Comment avez-vous passé la nuit au sein de votre famille ? Nous n’avons pas fermé l’œil. Je ne suis pas parvenu à fermer l’œil de la nuit. Cela fait mal, mais on gère. Aucune défaite ne m’a fait aussi mal. J’ai battu plusieurs champions et j’ai fait 10 ans dans la lutte. Beaucoup d’eux m’ont aussi battu, mais je sais que cette défaite m’a fait trop mal et je ne suis pas prêt à l’oublier. Pouvez-vous revenir sur votre combat raté face à Sa Thiès ? Concrètement qu’est-ce qui n’a pas fonctionné ? Je ne saurai le dire. Vous savez, beaucoup de choses se sont passées, mais je ne peux pas étaler ça dans la presse. Je laisse tout entre les mains de Dieu. Je sais que j’ai raté mon retour et je m’en remets à Dieu. Après trois années d’absence, est-ce que vous n’avez pas raté votre retour très attendu ? Je ne sais pas ! En tout cas, j’ai perdu un combat capital. Certaines indiscrétions disent que vous n’avez pas pris au sérieux votre préparation pour ce combat… On vous reproche même de ne pas mettre les pieds à l’écurie depuis…? Vous savez, quand on est un leader, parfois on ne peut pas se contenter de se préparer avec beaucoup de gens. Je ne veux même pas entrer dans ces détails, mais je sais que je me suis entraîné avec de bons techniciens. Et pourtant, même votre entraîneur titulaire a formellement dit que vous aviez brillé par votre absence aux séances de contacts… Je n’ai rien à répondre de ça, franchement il n’y a pas lieu de polémiquer. Comment appréciez-vous les dé- faites accumulées par les jeunes champions de Lansar qui ont perdu beaucoup de leurs combats ? C’est juste la volonté divine. Je prie pour que la prochaine fois, ils retrouvent tous le sourire. J’encourage Feugeuleu tout comme Tidiane Faye. Et comme vous avez manqué votre retour, qu’est-ce que vous promettez à vos fans ? Je vais rebondir… Mais, juste pour leur dire que c’est un combat que je ne devais pas perdre. Je sais les avantages qui m’attendaient si je réussissais à battre Sa Thiès. Je me suis entraîné comme un fou et j’étais à 100% prêt pour ce combat. Quand je suis même arrivé au stade, les gens avaient vu comment j’étais à l’aise. Mais tout ce qui s’est passé ne peut pas se dire. Je demande juste à mes supporters d’être patients et de toujours prier pour moi pour qu’au prochain combat, je sorte vainqueur.
LANCEMENT DU MOUVEMENT «JOM» À LATMINGUÉ – Dr Macoumba Diouf appelle les jeunes à cultiver l’excellence
Le maire de la commune de Latmingué bénéficie de l’élan de nouveaux souteneurs. En effet, des jeunes de ladite localité ont mis sur pied un nouveau mouvement pour accompagner les efforts de leur maire, Docteur Ma- coumba Diouf. Ce nouveau mouvement qui vient de naître dansla commune de Latmingué est dénommé «Jeunesse ouverte à Macoumba», en sigle Jom. La nouvelle structure a pour objectif principal de travailler pour le développement de Lat- mingué sous la houlette du maire, non moins directeur de l’horticulture. La Jeunesse ouverte à Macoumba ou Jom, ne manque pas d’ambitions puisqu’elle compte s’investir dansl’essor de la nouvelle commune qu’est Latmingué au grand bonheur des populations. Pour apporter desjustificatifs par rapport à la pertinence de la création de cette structure, l’initiateur, Pape Andelle Kitane, de souligner que les jeunes de Latmingué ont le devoir de tracer la route pour leurs petitsfrères.Avant d’ajouter : «Nous avons pensé, avec toute la jeunesse de la commune, à nousregrouper autour du maire qui est un modèle pour nous. C’est pourquoi, nous avons choisi le mot «Jom» qui déter- mine la réussite dans tous les projets de jeunesse et l’ouverture à Macoumba comme étant l’un des plus grands intellectuels de notre localité». CONDUIRE AVEC EUX DES PROJETS ET PRO- GRAMMES Prenant la parole, le maire s’est avant tout félicité de leur ini- tiative et qui les a amenés à trouver en lui un homme fédé- rateur et soucieux du dévelop- pement du Sénégal en général, de Latmingué en particulier. À cette occasion, Dr Macoumba Diouf a lancé un appel aux jeunes vers l’excellence pour faire de leur commune, une lo- calité émergente. «Ce mouve- ment regroupe des jeunes de l’Apr, de Benno bokk yakaar et de la société civile, qui croient en Latmingué et en son émergence. Donc, c’est une initiative extraordinaire, une grande première. C’est un message de responsabilité qui est orienté vers des actions plus responsables. Cette journée nous a permis de voir qu’on peut compter sur notre jeunesse comme sentinelle, parce que la politique politicienne doit cesser et les jeunes doivent jouer leur partition pour faire cesser ce phénomène. C’est par des messages plus responsables, à travers des actes concrets qu’ils vont poser, que nous al- lons conduire avec eux des pro- jets et programmes. Voilà com- ment nous allons transformer notre commune en passant par la jeunesse. S’il n’y a pas d’excellence aussi, il n’y aura pas d’émergence», a conclu Dr Diouf.