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Rapport Ofnac – Les « forces vives du Coud »’, boucliers de leur Dg

La prétendue imminence de l’inculpation du directeur du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), Cheikh Oumar Ann, épinglé dans le dernier rapport de l’Ofnac, suscite l’indignation d’organisations syndicales regroupées dans une entité dénommée « Forces vives du Coud ». Il s’agit des sections du Syndicat autonome des travailleurs des universités et des centres universitaires (Satuc), du Syndicat des travailleurs des établissements scolaires et universitaires (Stesu), de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal/Forces du changement (Cnts/Fc), du Syndicat national des travailleurs de la santé (Syntras), des amicales des femmes, des jeunes et des cadres du Coud, entre autres.

Dans un communiqué parvenu à Seneweb, les « Forces vives du Coud » pointent le rapport de l’Ofnac. Elles dénoncent : « Le principe du contradictoire est un principe de droit existant dans toute procédure, qu’elle soit civile, administrative, pénale ou disciplinaire, et qui signifie que chacune des parties a été mise en mesure de discuter l’énoncé des faits, les moyens juridiques qui leur ont été opposés et les conclusions des investigations ou enquêtes, posent-ils. C’est pourquoi, à l’image des rapports de l’Ige et de la Cour des comptes, et dans un souci de donner plus de crédit au rapport de l’Ofnac, institutions à laquelle les Sénégalais fondent beaucoup d’espoirs, il nous semble nécessaire de respecter ce principe en permettant aux personnes mises en cause de connaître les conclusions des investigations. »

Les soutiens du directeur du Coud regrettent que les intéressés découvrent les conclusions du rapport dans la presse. Pour eux, « un tel procédé conduit à une lecture biaisée des rapports ». Ils poursuivent : « Jusqu’à ce jour, le Coud n’a pas reçu le rapport définitif de l’Ofnac. Il a été informé à travers la presse comme tous les autres Sénégalais. Il en est de même lorsqu’on nous apprend que ledit rapport est sur la table du Procureur. »

L’Ofnac reproche à Cheikh Oumar Ann des irrégularités dans la gestion des fonds du Coud : fractionnement de marchés, octroi de subventions irrégulières, notamment.

Auteur: Youssoupha Mine – Seneweb.com

L’émouvante histoire du bébé sorti indemne d’un violent accident

Samedi dernier, une collision entre deux véhicules à “Allou Kagne” a occasionné 3 morts (2 dames et un homme). L’une d’elles portait un bébé de 2 mois au moment de l’accident. Un enfant qui, heureusement, est sain et sauf.

Le corps de la jeune dame est toujours à la morgue de l’hôpital régional de Thiès et l’enfant gardé au service social du même hôpital. Seneweb revient sur cette douloureuse affaire pour aider à retrouver leurs parents.

Vendredi 3 mars 2017. En début d’après-midi, une jeune dame, à peine 20 ans, haute de 1,72 mètre, teint noir, habillée d’une robe rouge, un bébé de 2 mois sur le dos (voir photo), quitte le domicile familial à Richard Toll. Direction : Pire, dans le département de Tivaouane. Elle n’a pour seul bagage qu’un sac contenant quelques effets de son enfant. Elle part à la recherche de l’homonyme de son bébé, Ndoye Bane en l’occurrence.

Lorsqu’elle débarque dans la ville de l’animateur de la Rfm, le soleil avait fini de se retirer et le muezzin appelait à la prière du soir. Elle sera orientée jusqu’au domicile des Bane et trouvera un vieux attentionné qui, pour rien au monde, ne peut laisser une jeune dame seule avec son enfant, braver la nuit. Il l’oblige à passer la nuit, promettant de lui donner le numéro de son fils, le lendemain. Rassurée, la jeune dame profite d’un sommeil réparateur.

Le lendemain matin, un copieux petit-déjeuner lui est servi avant qu’elle ne prenne congé de ses hôtes. Elle embarque, avec son bébé, à bord d’un car «Ndiaga Ndiaye» immatriculé ZG-7647-A, en partance pour Dakar.

À la sortie de Thiès, à hauteur de “Allou Kagne”, le, car entre en collision avec un bus immatriculé DL-0174-C. Il est 12 heures passées de quelques minutes. La violence du choc est telle que la jeune dame décède sur le coup avec une autre dame et un homme. Quinze personnes se retrouveront avec des blessures. Le bébé, lui, est sain et sauf. Les corps et les blessés sont acheminés à la morgue de l’hôpital El Hadji Amadou Sakhir Ndiéguène de Thiès par les sapeurs-pompiers.

Dès le lendemain, les dépouilles de deux des défunts sont récupérées par leurs parents et inhumées. Mais celle de la jeune dame est toujours à la morgue, presque deux semaines après l’accident. Son enfant est également gardé au service social de l’hôpital régional de Thiès. La raison est que la brigade de gendarmerie de Pout, qui a ouvert une enquête, n’a toujours pas pu identifier la défunte et le bébé. Aucun parent ne s’est encore manifesté.

Écoutez l’appel lancé par Mme Marème Christine Diouf, chef du service social de l’hôpital régional de Thiès

 

Auteur: Daouda Mine – Seneweb.com

Trump, sa feuille d'imposition 2005, ses déductions fiscales

C’était l’une des questions que tout le monde se posait durant la campagne pour l’élection présidentielle : est-ce que Donald Trump paye ses impôts ? Personne n’était en mesure de répondre et le candidat refusait de rendre public ses déclarations contrairement à la tradition. Mais mardi 14 mars, une chaîne de télévision a mis la main sur les deux premières pages de la déclaration datant de 2005 du milliardaire américain. Donald Trump paye bien ses impôts, en tout cas pour ce qui est de l’année 2005, même si son taux d’imposition est inférieur comparativement à d’autres grandes fortunes aux Etats-Unis.

Des comptes Twitter piratés en masse par des pro-Erdogan

Amnesty International, le ministère français de l’Economie, la marque Nike ou encore Alain Juppé… De très nombreux comptes du réseau social ont été détournés mercredi 15 mars. Le message, hostile à l’Allemagne et aux Pays-Bas, évoque le référendum constitutionnel du 16 avril en Turquie et émanerait d’activistes pro-Erdogan.

Législatives aux Pays-Bas: participation en hausse à la mi-journée

Un scrutin-test pour l’Europe se déroule ce mercredi 15 mars 2017 aux Pays-Bas. Il s’agit d’élections législatives, les premières dans un pays fondateur de l’UE depuis que les Britanniques ont choisi de quitter l’Union. Dans un contexte de montée des nationalismes en Europe, et à la veille d’élections majeures en France et en Allemagne, le score de l’extrême droite islamophobe et eurosceptique sera scruté de près. Ces derniers jours, la campagne électorale néerlandaise a été marquée par une crise diplomatique entre La Haye et Ankara.

La Gambie demande l'extradition de ses fils dictateurs

La Gambie a officiellement demandé une entraide judiciaire à certains pays pour obtenir l’extradition de Gambiens en fuite, après avoir été cités dans des cas avérés d’assassinats, d’enlèvements, de tortures et de crimes sous le règne du dictateur Yahya Jammeh. C’est le ministre de l’Intérieur gambien Mai Ahmad Fatty qui en a fait la révélation, ce vendredi, au moment de faire l’état des lieux sur l’enquête relative à la mort en détention de l’opposant Solo Sandeng, en avril 2016.

Aujourd’hui sous le coup d’une inculpation en Suisse pour crimes contre l’humanité, Ousmane Sonko, le principal cerveau et chef opérationnel de l’appareil répressif de Yahya Jammeh, est aussi désiré par la nouvelle administration du Président Adama Barrow qui souhaite le faire juger en Gambie, selon le ministre Mai Fatty.

Des sources sûres informent d’ailleurs EnQuête que des responsables de l’ONG Trial, qui ont constitué le dossier en instruction par la justice suisse, sont en Gambie depuis quelques semaines, pour interroger des témoins et effectuer des recoupements à la suite de dénonciations relatives aux actes supposés avoir été commis par l’ancien bras droit de Yahya Jammeh.

En Gambie, l’espoir subsiste donc qu’Ousmane Sonko soit bientôt traduit devant les juridictions de son pays. En fuite depuis septembre dernier, celui qui a été ministre de l’Intérieur assurait la coordination entre la NIA, la police secrète de Yahya Jammeh, les Junglers réputés pour leurs violence et leurs assassinats sur commande, la prison Mile Two et les autres centres secrets de détention et de torture d’où leurs victimes revenaient souvent les deux pieds en avant, si elles ne disparaissaient tout simplement à tout jamais.

“Nous avons activé et invoqué les mécanismes internationaux de coopération et d’entraide judiciaire en matière de rapatriement de suspects de crimes se trouvant hors de nos juridictions. Il s’agit de fugitifs comme l’ancien ministre de l’Intérieur Ousmane Sonko, etc. Nous avons déjà obtenu un premier succès avec l’extradition de Bora Colley, arrêté au Sénégal et aujourd’hui détenu en Gambie”, renseigne Mai Fatty.

“Nous avons constitué une équipe d’enquêteurs qui continue de travailler sur toutes les pistes à travers le pays. Et 14 Junglers (les tueurs à gages de Jammeh) sont déjà arrêtés, dont certains sont déjà jugés pour tortures et meurtres. C’est le cas de l’ex-directeur général de la NIA, Yankuba Badjie”, ajoute le ministre gambien de l’Intérieur. Il faut tout de même souligner que plusieurs suspects restent encore en fuite.

En attendant, il souligne, dans le cadre des enquêtes, que plusieurs avancées ont été notées sur des cas spécifiques de disparitions, d’assassinats, d’actes de tortures, de viols et d’autres crimes commis par les tueurs à gage de Yahya Jammeh et leurs complices dans l’administration publique et l’appareil sécuritaire de ce dernier.

Mai Ahmad Fatty a ainsi indiqué que des dossiers judiciaires ont déjà été constitués contre l’ancien directeur de la NIA Yankuba Badjie, ses assistants Sheikh Omar Jeng et Louis Gomez, dont les agents enlevaient et torturaient des Gambiens pour leur extorquer des aveux. Il en va de même pour l’ex-régisseur de la prison Mile Two, David Colley qui livrait les prisonniers à la torture et aux exécutions extra judiciaires.

Le dossier le plus attendu dans ce sens est sans doute celui de Solo Sandeng, militant de l’opposition gambienne, dont la mort, l’année dernière, a déclenché une série de manifestations annonciatrices de la chute du dictateur Yahya Jammeh. Ses restes ont été exhumés, samedi, par une équipe d’enquêteurs, en présence de son fils Muhammed Sandeng et son frère Famara Sandeng.

Et comme l’avait indiqué EnQuête, au lendemain de l’annonce de sa mort, c’est bien à Tanji, derrière les locaux de la NIA, près du mur de clôture, que le corps a été exhumé. Il reviendra désormais aux enquêteurs de prouver qu’il s’agit bien du corps de Solo Sandeng et de déterminer les causes de sa mort, selon le ministre Mai Fatty.

Lu Shan pdg CRBE"L'autorout Ila Touba sera livré avant fin décembre 2017

Le président de la République, Macky Sall, entame une visite officielle en Suisse du 19 mars au 22 mars, selon les autorités helvétiques. Il sera accueilli par Doris Leuthard, présidente de la Confédération suisse, cheffe du Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (Detec).

GENEVE- (Suisse)- A Berne, la capitale fédérale, l’hymne national du Sénégal sera exécuté. Macky Sall, président de la République du Sénégal aura également droit aux honneurs militaires, selon un communiqué des autorités suisses qui annoncent au programme des entretiens officiels entre les délégations suisse et sénégalaise conduits par Macky Sall et Doris Leuthard.

Par ailleurs, le conseiller fédéral, Didier Burkhalter, chef du Département fédéral des affaires étrangères (Dfae), sera présent aux entretiens officiels, de même que Dagmar Schmidtt, ambassadeur suisse à Dakar. Au domaine du Lohn, le Conseil fédéral (ndlr : gouvernement suisse) offrira un déjeuner officiel en l’honneur du chef de l’État sénégalais.

Côté sénégalais, la délégation officielle sera composée, au-delà des diplomates en poste en Suisse, de nombreux ministres, Sidiki Kaba, garde des Sceaux, ministre de la Justice, Mankeur Ndiaye, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Amadou Bâ, ministre de l’Économie, des Finances et du Plan, Khoudia Mbaye, ministre de la Promotion des Investissements, des Partenariats et du Développement des téléservices de l’État, Mamadou Talla, ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, Matar Bâ, ministre des Sports, Oumar Demba Ba, ministre, conseiller diplomatique du président de la République, etc. A la fin de la visite officielle à Berne, les deux présidents vont rencontrer la presse. Après Berne, Macky Sall sera à Genève, pendant deux jours, pour une série d’activités.

Privilège d’homonymie

Mimi Touré avait précisé que l’obligation de rendre compte s’impose à tous, «compte non tenu de la notoriété, de l’appartenance politique ou des connexions influentes» de la personne. Il faudra y rajouter, compte non tenu du nom. Parce que pour Serigne Abdoul Aziz Sy Al-Amine, rien que pour le nom qu’il porte, homonyme de son père Babacar Sy, Khalifa doit être libéré. Le maire de la Médina aussi, Cheikh Ahmadou Bamba Fall à l’état civil, doit réclamer son privilège d’homonymie, comme un privilège de juridiction.

Matar Bâ à l’accueil

Matar Bâ, ministre des Sports, s’est réjoui du parcours des protégés de Joseph Koto, bien qu’ils ne soient pas revenus avec le trophée continental. «Il faut qu’ils travaillent davantage pour continuer à satisfaire le peuple sénégalais. Avant 2015, on est resté plus de 20 ans sans participer à cette compétition. Nous avons organisé et nous sommes allés en finale en 2015. En 2017, l’équipe s’est battue et on est encore allé en finale. Il ne faut pas l’oublier. C’est maintenant qu’on pense à une coupe, il n’y a pas longtemps, on ne pensait même pas à une qualification parce qu’il n’y avait pas le travail qu’il fallait au niveau de la petite catégorie».

Néanmoins, le ministre attend cette coupe pour les prochaines compétitions. «Il faut renforcer ce qui est en train d’être fait pour participer à toutes les compétitions, que ce soit chez les Cadets, les Juniors, les U23 ou encore chez les Seniors. Pour avoir un trophée, il y a toujours quelque chose qui nous manque, il faut continuer à travailler pour trouver la clé du succès», lance Matar Bâ très optimiste.
Vêtu d’un même tee-shirt aux couleurs nationales comme tous les autres membres du 12ème Gaindé, Babacar Sylla dit «Aba Sénégal » est tout aussi optimiste pour le futur des Lionceaux. Et réconforte le portier des U20. «Nous félicitons nos Lionceaux. Ils ont bien défendu les couleurs du pays. Nous sommes fiers d’eux. Lamine Sarr a été bon tout au long du tournoi. L’erreur est humaine. Nous l’encourageons. Nous irons au-delà des demi-finales pour le Mondial», soutient «Aba Sénégal».

Mayacine Mar est le seul membre de la délégation qui a bien voulu évoquer cette histoire de pratique mystique contre la Zambie impliquant Ibrahima Ndiaye. «Je pense qu’on était pas moins bon que la Zambie. On a pris 2 buts. C’était difficile à remonter. Je pense qu’il y a eu une bonne réaction de  l’équipe globalement. Ibrahima Ndiaye on peut le pardonner. Il est encore jeune. La performance de l’équipe n’est pas liée à ces histoires-là. C’est un fait inédit. Il faut condamner ça. Nous allons prendre des mesures pour que de telles choses ne puissent jamais se reproduire», a plaidé le DTN. Ce n’est pas pour rien que l’attaquant des Lionceaux épinglé dans cette histoire de «Khon» a été terriblement silencieux. on cherche du regard le coach des vice-champions d’Afrique pour la deuxième fois consécutive. Joseph Koto n’est pas avec ses jeunes joueurs. L’entraîneur qui a qualifié les U20 à une deuxième Coupe du monde consécutive n’a pas fait le voyage avec le reste du groupe. Comme l’écrivait Stades, en compagnie des collègues zambien, guinéen et sud-africain, «Boud’Chou» s’est rendu en Corée du Sud où se déroule le tirage des poules du Mondial U20 (lire page 7). on apprend que l’attaquant Aliou Badji a directement rejoint son nouveau club en Suède.

La page de cette CAN U20 semble définitivement tournée pour les Lionceaux et leur encadrement. Désormais, on parle de la 21ème édition de la Coupe du monde des moins de vingt ans qui va se dérouler du 20 mai 2017 au 11 juin 2017 en Corée du Sud.

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Les Koto Boys bien accueillis à Leopold Sedar Senghor Airport

Malgré la défaite (2-0) en finale contre le pays organisateur, la Zambie, une foule joyeuse et fière a accueilli les Koto Boys hier après-midi à l’aéroport international Léopold Sédar Senghor

Les vice-champions d’Afrique dans la catégorie des moins de 20 ans ont été accueillis avec ferveur, hier après-midi à l’aéroport Léopold Senghor Senghor. Attendus à 15h00, c’est à 15h45 que les Lionceaux et autres membres de la délégation sénégalaise en Zambie sont apparus dans le hall de l’aéroport. à l’accueil, il y avait le ministre des Sports. Matar Bâ, qui leur avait remis le drapeau national à leur départ pour Ndola, a tenu à être présent pour encourager les Juniors finalistes malheureux. Les parents, amis et autres proches des joueurs exultent en voyant les médaillés d’argent de la CAN U20. Le 12ème Gaindé, comme à l’accoutumée, est bien présent. Ça chante et ça danse. Certains arborent fièrement des tee-shirts aux couleurs nationales. La faute de main de Lamine Sarr et l’histoire de pratique mystique de Ibrahima Ndiaye semblent être un lointain souvenir. Personne ne veut accabler un seul joueur de Joseph Koto. Les supporters des Lionceaux veulent garder l’esprit positif et se projeter déjà sur le Mondial 2017 en Corée du Sud. Une deuxième participation au must du football de cette catégorie d’âge que les Lionceaux du Sénégal ont validée en mettant «dans la sauce» ceux du Cameroun lors de la 3ème et dernière journée de la phase de poules. Malgré la chaleur, l’ambiance est festive. Quelques touristes de type européen viennent assister à cette ambiance et traînent un peu pour tenter de comprendre cette effervescence. Les joueurs prennent des photos avec leurs supporteurs. Puis se prêtent volontiers aux questions des journalistes.

Les responsables de la fédération ayant fait partie de la délégation sont également fortement sollicités par la presse. on tente d’expliquer les raisons de ce faux-pas en finale. Mbaye Diouf Dia, responsable des petites catégories à la fédération, ne se débine pas. «Dans un stade rempli de 60 000 personnes acquises à la cause de l’adversaire, il y avait à coup sûr une énorme pression sur de jeunes joueurs. Mais c’est comme ça qu’on grandit. Je crois que c’est (Lamine Sarr) un excellent gardien. L’erreur qu’il a commise ne sera pas répétée. Nous ne sommes pas entrés une seule fois sur le terrain où devait se jouer la finale. Nous avions demandé aux gosses de se qualifier pour une deuxième fois à la Coupe du monde. C’est ce qu’ils ont fait et que n’ont pas réussi le Mali, le Nigeria et le Ghana, trois grandes nations du football des petites catégories. Dans le groupe des représentants africains au dernier Mondial, le Sénégal est le seul rescapé, et repart à la Coupe du monde. Il faut s’en féliciter, et je pense que c’est assez satisfaisant», indique-t-il.

Bac 2024 à Kaolack : 64 candidats détenteurs de téléphones exclus crazytime Quelque 64 candidats au baccalauréat ont été expulsés aujourd’hui par le président glory casino online du jury 1506 du centre nouveau lycée de Kaolack pour détention