MAÏSSA MAHECOR DIOUF, APR, SUR LES INVESTITURES AUX LEGISLATIVES «L’irréparable peut se produire dans certaines départements…»

En perspective des prochaines investitures pour les élections législatives, Maïssa Mahécor Diouf de l’Apr plaide pour une présence massive des jeunes. Afin d’«éviter l’irréparable».

Responsable Apr à Fatick, Maïssa Mahécor Diouf est convaincu que rien ne peut plus se faire sans les jeunes au sein du parti présidentiel. Estimant que lesjeunesreprésentent la «sécurité et l’avenir» de ce parti, il plaide pour «plus de considération et de confiance» à leur endroit dans le cadres des investitures pour les prochaines électionslégislatives prévues le 30 juillet. A l’en croire, «l’irréparable peut bien se produire dans certaines dé- partements si l’on ne mise pas sur certains responsables je- unes». Car, «en termes d’in- tégrité morale et de présence sur le terrain, les choses ont beaucoup évolué, notamment en termes d’intégrité morale». Par ailleurs, ce responsable poli- tique à Fatick a salué le travail du président de la République depuis son accession à la mag- istrature suprême. Il estime que les mesures qui touchent tous les Sénégalais, de toutes couches confondues, vont de la «baisse de l’impôt sur les salaires, sur les denrées de première nécessité à la baisse historique du prix de l’électricité». Mahécor Maïssa Diouf cite aussi la relance et la valorisation de l’agriculture, la territorialisation des politiques publiques à travers les pôles de développement économique, le Pudc….. A cela, il faut ajouter l’orientation sociale du Budget de l’Etat à travers les bourses de sécurité familiale, la gratuité de 0 à 5 ans et gratuité de l’hé- modialyse, le renforcement de la carte universitaire. Mieux, souligne-t-il, il y a le désenclavement, le Ter, les autoroutes, Promo ville, Illa Touba, le Programme d’aménagement des zones frontalières, et surtout le retour de la paix en en Casamance. En raison de ces résultats «probants», il pense que les Sénégalais peuvent être optimistes. Sur le dossier de la Caisse d’avance de la Mairie, M. Diouf souligne que «le statut de challenger politique au Président Macky Sall ne peut nullement garantir l’impunité». Car «en raison de la «constance desfaits qui lui sont reprochés, l’amal- game et la confusion demeurent aujourd’hui les moyens de l’opposition pour valider le vol, le faux, l’usage de faux, l’escro- querie et le détournement de deniers publics». M. Diouf exhorte l’Etat «à rester droit dans ses bottes et à pour- suivre avec fermeté» sa politique de reddition des comptes, de transparence et de bonne gou- vernance.

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